Un tel psychisme ... au nom de.
Dans le culte du Vaudou, on croit que consacrer un enfant à un « dieu » qui ne lui correspond pas le rendra malade, fou ou très malheureux plus tard.
Les dieux existent vraiment, au moins d'une certaine manière. Les croyances imposées des millions de fidèles qui leur sont consacrés créent un certain type d'état d'esprit, qui est bien plus profond que n'importe quelle idéologie, puisque qu'elles touchent à l'essence même de l'être. Cet état d'esprit tend à se matérialiser d'une façon bien « sur Terre » , façon pouvoir temporel.
L'Inde est la mémoire écrite de l'Antiquité de la Terre.
Dans l'Inde hindouiste, il y a des millions de dieux supérieurs, et d'autres millions qui sont des dieux jaloux inférieurs qui cherchent querelle aux premiers.
Jéhovah le dieu (qui se dit lui même "un dieu jaloux") des juifs des chrétiens et des musulmans a anesthésié notre mémoire et nos pulsions pour les anciens dieux (sud-américains, égyptiens, grecs, germains, celtes) – qui étaient pourtant la représentation d'une conception du monde qui parlait déjà d'autres planètes habitées, de sortes de soucoupes volantes ( Les Vimanas) et d'armes de destruction massives, mais aussi d'harmonie et de paix intérieure (dans les Védas et les Upanishads par ex.).
« Cela, Cela que même les dieux ne peuvent concevoir / atteindre dans sa progression en avant » (lien)
Partout ailleurs qu'en Inde, le dieu jaloux Jéhovah a substitué son état d'esprit à notre mémoire. Ce dieu qui ne se définit pas comme Dieu-Intelligence, mais qui se décrit lui-même textuellement dans la Torah comme « un dieu jaloux », nous a brouillé notre mémoire.
Il est tellement jaloux qu'il castre sexuellement, et pas que symboliquement, tous les juifs mâles qui lui sont consacré, et toutes les « sœurs » des chrétiens lui sont exclusivement dévolus, et toutes les musulmanes doivent cacher leur visage même de la vue du soleil.
Certes, je préfère quelques juifs, chrétiens et musulmans à quelques autres de mes propres frères spirituels : athées, hindouistes, bouddhistes, païens, agnostiques, et autres sceptiques. Parce que je me méfie des mots et qu'il y a des bons, des brutes et des truands partout, et même bien des gens et des choses et bien des situations que je ne comprends pas.
Néanmoins, les gens placés sous le signe des monothéismes me semblent globalement bien « brutaux » si l'on prend leurs textes intégralement (de manière intégriste) : leurs textes pris de manière intégrale (de manière « intégriste ») ne voient dans les bêtes strictement que matière à exploitation, et ils prétendent discerner (follement) dans leur genre humain à eux, par contre, le centre et l'apogée ultime de l'univers.
Ils parlent toujours « au nom de ».
« Au nom de. »
N'est-ce pas une drôle de psychologie qu’a ce dieu judéo-jaloux, dans son obsession anti-homosexuelle ? Pas comme quelqu'un qui n'apprécie simplement pas pour lui-même, mais un peu à la manière de Omar Mateen qui à Orlando, en Floride aux USA, avait pris pour cible un night-club gay.
En juin 2016, la fusillade avait fait au moins 50 morts et 53 blessés. Omar Mateen, outre qu’il était fanatique religieux et particulièrement violent avec son épouse, était lui-même… un gay qui ne s’acceptait pas.
N'est-ce pas un drôle de psychisme donc, que celle de ce dieu judéo-jaloux, qui consiste à lapider ou à vouloir envoyer brûler vif pour l’éternité (!) tous ceux qui ne l’adorent pas ou simplement : tous ceux qui ne l’aiment pas beaucoup, ou même tous ceux qui se voudraient simplement indifférents à sa présence ?
« Au nom de. »
De mon point de vue, ils font dire à Dieu, Dieu-Intelligence, Dieu, c'est à dire à « Cela, Cela, Cela que même les dieux ne peuvent concevoir / atteindre dans sa progression en avant » (lien) : beaucoup beaucoup de choses qu'Il n'a pas dit.
Ces gens là sont obsédés par les pactes, les promesses, les engrenages, surtout par écrit, et ils ont vite fait de t'emmêler dans des histoires qui ne sont pas ton problème, pas mon problème en tous cas. Et tout cela toujours « au nom de » .
Leurs « alliances », leurs pactes, leur promesses, leurs engrenages - pour tout cela, le bon à-priori est de ne rien croire d'eux, et de s'en défier, et de ne pas baisser la garde.Surtout quand ils parlent « au nom de ».
De mon point de vue, leur dieu jaloux n'est pas « Cela, Cela que même les dieux ne peuvent concevoir / atteindre dans sa progression en avant » (lien).
Atlas et le poids du monde
Dans la mythologie grecque, Atlas (lien) était sensé porter une bosse et le poids du monde. De mon point de vue, le Pape, peut-être exactement pareil ou bien pire et effectivement des dimensions ... au dessus de tous soupçons.
Il faut faire comme a fait Hercule (lien) à l'époque avec Atlas, quand selon la légende Atlas lui proposa de partager sa charge. Hercule déclina l'offre.
Il faut leur laisser (leur bosse et) le poids du monde, et si possible ne pas les déranger ces gens là. Si possible. Le mieux est de ne pas s'en mêler s'emmêler. Parfois on ne peut pas faire autrement ?
Et je ne suis même pas cynique sur ces sujets là, mais bon.
Et effectivement des dimensions ... au dessus de tous soupçons
Ce dieu jaloux n’aime pas les gens. Il veut juste des êtres soumis et serviles, objets de son propre paradis.
Et ce dans les moindres détails de la vie domestique.
Ainsi Jean-Marie Déguignet (1834-1905) parle de son mariage et constate, dans « Mémoire d’un paysan Bas-breton » (Pocket) :
« Lorsque j’arrivais avec ma femme, le coquin était déjà à l’autel, prêt à mâchonner ses oremus, à invoquer le dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, c’est-à-dire le farouche Jéhovah, le dieu des bandits, des satyres et des assassins, à venir bénir notre union.»
Il n'y a qu'à voir l'Amérique des dévots et des Tartuffe – et le Président américain le Commandeur des croyants – pour se dire qu'on n'en a pas encore fini avec le dieu (monothéiste certes) jaloux.
Et il n'y a pas de quoi rire quand on considère qu'il a fallut des révolutions et des millions de morts et de suppliciés simplement pour que je puisse moi-même exprimer cette pensée sans me faire moi-même lapider ou sans me faire brûler tout de suite.
Comment se peut-il qu'un petit dieu jaloux ait pu emporter presque partout le cœur des humains ?
Ce que j'ai retenu de ce monothéisme :
En fait, le monothéisme juif est une construction qui date du Ve siècle avant l’ère commune.
Le dieu monothéiste des juifs, des chrétiens et des musulmans se définit lui-même, non pas comme Dieu-Intelligence – mais comme un « dieu jaloux », régnant tel un satrape sur une terre plate, elle-même recouverte par un plafond obscur. Jéhovah aurait tout créé il y a 7000 de nos années. C'est écris dans nos livres, en français.
Ce qui différencie les intégristes des autres, c'est qu'ils prennent tout au pied de la lettre : pour eux le monde a bien été créé il y a 7000 ans, la terre est plate, le ciel est un plafond, le créateur de notre biosystème est un jaloux. Parfois être ou ne pas être intégriste est une affaire d'opportunité.
Les juifs intégristes croient qu'en dehors d'eux, les gens brûleront tous pour l'éternité. Ils définissent eux-mêmes ces autres comme étant des « Gentils » : eux ne le seraient donc pas.
"Les Juifs sont appelés êtres humains, pas les non-juifs qui sont des bêtes." (Le Talmud - Livre sacré des Juifs)
Leur paradis consiste à avoir chacun des coupes remplies de diamants et trente serviteurs (des non-juifs ?) pour l'éternité. Cela se passe de commentaire.
Le dieu juif est tellement jaloux qu'il castre dans leur chair tous les jeunes juifs mâles (une circoncision qui n'est pas, je le rappelle, que symbolique).
En ce qui concerne les chrétiens, l'Amour dont ils font tant de cas se résume à celui du dieu jaloux et des autres adeptes. Les non-adeptes sont également destinés à être brûlés pour l'éternité, et c'est bien de leur faute.
Les chrétiens intégristes tolèrent juste un peu les juifs, qui sont quand même leurs ancêtres spirituels.
« Cela, Cela que même les dieux ne peuvent concevoir / atteindre dans sa progression en avant » ? (lien)
Partout où les chrétiens ont pu triompher sans retenu, ils ont effectivement donné un avant-goût de leur paradis en torturant, en imposant, en mentant, en réduisant en miette l'intelligence et l'homme droit, en allumant des bûchers sous les pieds des non-adeptes.
Dans « Pourquoi je ne suis pas musulman », Ibn Warraq montre que ce ne sont pas seulement les femmes qui sont inférieures selon la loi islamique, mais aussi les non-musulmans vivant dans des pays islamiques. De même que nul n'a le droit de changer de religion : un apostat doit être tué.
Le jihad est clairement prôné par la loi islamique, et le Coran foisonne de passages qui exhortent le croyant à tuer l'incroyant ou le non-musulman… L'idée maîtresse contenue dans l'argumentation d'Ibn Warraq est énoncée avec force: le problème n’est pas simplement l’intégrisme musulman, mais l’islam lui-même (...).
Leur paradis consiste à posséder des multitudes de poupées vierges, et à se délasser parmi l'herbe grasse et verte (ce qui change des déserts stériles et arides).
Ces braves gens tolèrent juste un peu les juifs et les chrétiens, qui sont quand même leurs ancêtres spirituels.
En apparence les musulmans englobent les chrétiens qui englobent les juifs, qui sont les ancêtres, l'avant-poste spirituel et l'épicentre – en dehors de ceux là tout le reste serait voué à une "géhenne éternelle" (Et quand ils nous maudissent de la sorte, je te le jure, ils ne rigolent pas).
En fait les 3 religions constituent le même "monde mental" commun à plusieurs milliards de citoyens.
D'une certaine manière, et de par l'état d'esprit de ses millions de croyants, déjà ce dieu qui se définit lui-même comme « jaloux » existe vraiment – et entend imposer sa loi à l'univers entier.
(En Inde, qui est la mémoire vivante de notre « Antiquité », il y a des millions de dieux, des dieux non jaloux, et des dieux inférieurs « jaloux », qui cherchent querelle aux premiers).
Dans l'inconscient collectif, le monde judéo-chrétien est organisé comme une Cité céleste et médiévale, avec ses bourgeois (les juifs dans leur paradis promis, avec leurs coupes de diamants et leurs 30 serviteurs), ses soldats (les soldats du christ) et le reste de l'humanité (les muslims « qui seront à la fin du coté du plus fort » et les assises ultimes de la cité).
Cette Cité céleste et médiévale, qui habite l'inconscient collectif de plusieurs milliards d'êtres humains, entend plus que jamais se matérialiser sur notre belle planète Gaïa. Elle veut organiser notre réalité guerrière, économique, politique, et amoureuse sous ses moindres aspects. Elle veut élever ses murs médiévaux sur la mémoire des athées, des agnostiques, des bouddhistes, des hindouistes, des païens, des libres penseurs et des sceptiques – pour éradiquer et effacer jusqu'à leur souvenir.
Mon impression vis-à-vis de ce monothéisme :
La conception de ce monde monothéiste va contre toute noblesse de sentiments, contre toute « gentillesse », est anti-scientifique, et ne vaut que par la peur, la soumission et la phobie vis-à-vis de toute curiosité et intelligence – qu'elle entend imposer.
Ce que j'en conclus :
Dieu-Intelligence me semble quelque peu hermétique et inconnaissable par définition.
Du point de vue de la guerre, de l'amour et de la politique – par contre, le dieu judéo-chrétien me semble un peu plus faible du point de vue du psychisme (Il faudrait savoir de quel « Dieu » on parle.) On pourrait parfois voir dans la bible des judéo-chrétiens une beauté originale... et bien non, il ne s'agit alors que de plagiat sur le dos des Sumériens par exemple : dans l'Épopée de Gilgamesh, l'épisode relatant le déluge est beaucoup plus ancien et ressemble beaucoup, mais en plus étoffé, à l'épisode de Noé dans la Bible [lien1] [lien2].
Donc, et à ceux qui disent le contraire : pourquoi « Dieu avec un grand D » n'aimerait-il pas des choses païennes ? « Qui » dit ça ?
Il faut vraiment avoir un psychisme « particulier », en tant que monothéiste islamo judéo-chrétien, pour avoir créé un tel dieu, si jaloux, si invivable, si vindicatif, si haineux, si ignare, si intolérant, si brute, si méchant. Car c'est l'homme monothéiste qui a créé ce dieu qui se dit lui-même jaloux, et non l'inverse.
Il lui faut convertir, abrutir, torturer, consumer, anéantir – jusqu’à ce que chacun « croit » en la supériorité de l'homo monothéiste. Sa soif de domination et de considération est inextinguible.
Tant que cela lui est possible, un tel psychisme ne peut laisser quelque forme de vie respirer normalement.
En particulier dans son dernier avatar, qui est la religion dite « noachide».
Vous demandez aux gamins ou aux gourous : « Est-ce que Dieu existe ? ». Mais lequel, Ishtar, Thor, le dieu FOOT, Jéhovah alias Allah, Jupiter, Shiva, etc., etc. ? ? ?
C'est que la qualité de l'opium religieux est très divers.
Et celui consommé par le plus grand nombre, c'est sûr, n'est pas toujours le meilleur.
« Des Eddas Vikings et des Védas hindouistes sanscrit, je comprends peut-être peut-être 40 pages sur des bibliothèques et des bibliothèques entières, et encore. « Cela, Cela que même les dieux ne peuvent concevoir / atteindre dans sa progression en avant » (lien), « Dieu », il y a peut-être, peut-être, une ou deux lignes que je ne comprends pas. Si tu vois ce que je veux dire.
Telle est mon arrogance : (lien). »
(Extrait de l'article : « Cela, Cela que même les dieux ...» (lien))
Odal GOLD
PS : Une petite dose de pensée magique - néanmoins
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« Une petite dose de pensée magique - néanmoins »