Même que si ça se trouve c'est juste des mots en trop - mais pas trop

Dans une autre vie

   C'est des mots du « blabla bla », pas mieux bien sûr que ceux de la chanson « 12 Belles dans la Peau », de Sergueï Gainsbarre :

   Par exemple dans une autre vie et sur le ton toujours « blabla bla », il me semble que j'ai croisé - mais pas plus - les lignes extrêmement droites et les sifflements traçants et glaçants de la rousse Pascale et de la brune Dalila et de la blonde Corinne.  

Gens Adulte Homme variété billard balle Bar - de Pixabay (lien)

   Par exemple quand dans mes souvenirs, quand je regarde une Dalila ou une Corinne, je sais que ce sont des personnes que j'eusse pu bien aimer dans d'autres circonstances.

   Chacune est dans un style très différent, et pas bête comme on dit. 
   Mais pas un millième de seconde de recul ou de réflexion personnelle, là où moi parfois je mets 10 ans avant d'avoir vraiment mon opinion ou ce genre de musicale réaction glaçante ou une ligne directrice.

   Et d'autres gens idem, et c'est dans une telle proportion. Je n'aurai jamais qu'un tout début « un tout petit petit début d'explication » face à une telle constatation, c'est évident.

   « John Rockefeller, le plus célèbre milliardaire de l’histoire américaine, avait coutume de dire qu’il avait vendu toutes ses actions juste avant la crise de 1929 quand son chauffeur lui avait demandé des conseils boursiers. A l’époque, même les cireurs de chaussures de New York avaient leur avis sur la question. Ainsi vont les bulles... » (lien) 

New York City Wall Street Bourse Manhattan - de Pixabay (lien)

   Mais il me semble avoir d'autres feelings aussi.

   Et de voir tant de Dalila et de Corinne et leur action-réaction au quart de tour pour parler de ceci ou de cela, et même qu'elles s'en vanteraient, et même qu'elles pourraient même donner la mort et mourir pour 3 mots vite dits comme ça...

   déjà j'entends le battement des tambours (lien) et les sifflements traçants et glaçants de ces belles,  « il est terrible cet air là ! » (lien) ...

   et pourtant tout le monde en dit des mots en trop...

   et que même en y passant plusieurs vies, je ne saurai pas moi en avoir une idée ou en discuter vraiment, de ceci ou cela, et c'est ça vraiment le sujet : je me demande juste « Pourquoi ? ».

   Ma prétention est d'être un gars relativement simple - pas simple simple - mais relativement simple. Et certes je ne suis pas un Darwin ni un Merlin l'Enchanteur.

   Et j'en dis des mots en trop, même moi en plus j'en dis des mots en trop.

   C'est comme ça.

   Elles croient à toutes les promesses des marchands de promesses, c'est leur choix. Et ceux et celles qui promettent croient également si dignement des choses, des choses, comment est-ce possible de croire à des choses pareilles, souvent je ne sais pas : « des choses que même un chaton ne pourrait croire ! ».

   C'est presque le règne de Prométhée (lien), le Titan qui promettait le feu des Dieux aux hommes.

   Vous savez pour finir, dans ce genre d'endroits qui sont toujours pavés de bonnes intentions.

   Ils et elles me regardent, et qu'est-ce qui les intéresse vraiment, là est toute la question. Ils ne font pas semblant, plus rien ne les dérange, il ne faut pas les déranger (mais beaucoup de chansons dans ma tête aussi : (lien)). Et en fait, toujours sur le même sujet, ici les femmes comme les hommes.

   Ça va finir comme Prométhée et le Titanic (lien) réunis, je ne sais pas moi.

   Un milieu pourtant qui laisse passer beaucoup d'idées, et le manque de respiration est ailleurs.
   Je ne sais pas comment cela est possible à ce point là.

   C'est pas les années 1930 avant l'apocalypse des fanatismes et des crânes réduits façon tribal, mais il y a quelque chose.

   C'est pas encore tout à fait l'heure des vampires cachés à l'affût toujours pour les bonnes causes et les bonnes intentions, on peut compter sur eux dans ces cas là, mais il y a quelque chose.

   Peut-être que c'est mon état d'esprit qui est « too much ! ».

   Peut-être que je me fais des idées.

Mais pas trop

   Puisqu'il en faut des Scoops des News, des journalistes qui mettent de l'huile sur le feu, et des embrouilles, et bien voilà :

   plus rien ne les dérange, et le manque de respiration - et pas que la Justice, et pas que la Vérité - est ailleurs.

   Je dis ça, je dis rien.

   Même que si ça se trouve c'est juste des mots en trop tout le monde en dit des mots en trop. Même que si ça se trouve c'est juste des mots en trop, oui, « pour pas paraitre » juste qu'un révolté un écorché vif de la gâchette labio-dentale (lien) de bar-tabac. 

Futuriste ? - de Pixabay (lien)

   Ou pas plus qu'une duchesse ou qu'une secrétaire, selon la chanson « 12 Belles dans la Peau », vu par Sergueï Gainsbarre (lien).
   Même que c'est juste pour paraître normal mais pas trop.

   Mais pas trop. 

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