A priori on a super-bien tiré. Tir - Moi. Je. Personne.
A priori on a super-bien tiré. Tir - Moi. Je. Personne.
Les gens ils en sont à ce point qu’ils ne croient plus depuis longtemps aux contes de fée, c’est bien dommage, c’est bien dommage.
C'est perso, ben oui.
Le ciel est plutôt pour moi, en tous cas, parfois c'est le bon état d'esprit on va dire, et pas que le résultat d'une bonne fumette de moquette.
Yes.
🛫
Par rapport à tout ce que je connais de moi-même.
A priori on a super-bien tiré - selon Pixabay (lien)
Tir - Moi. Je. Personne.
Et tu t'engages, et tu signes le contrat, hé, il faut que tu le saches, c'est pas que pour la vie, que jamais tu n'en sortiras
J'ai trop emmagasiné par rapport à moi-même, j'ai mal à la tête. Cela fait quelques mois que je ne lis plus rien. Les mots risquent de me noyer, et si je n'y prête garde, je vais finir façon à la française style je pense donc je suis.
Il y a encore pire tu me diras, c'est de finir par croire aux ombres occidentales quand il s'agit de sauver la planète et de sauver les sauveurs. Ils ont une bienveillance tellement dégoulinante et d'ailleurs ils croient qu'ils ne risquent rien.
Le danger principal avec les Occidentaux, ce serait de devenir cynique ou pire encore, comme eux, dégoulinant de moraline facile et pour quelques euros de transaction avec eux qu’on n’y pense pas plus, c'est devenu plus qu'un échange entre frères de sang, on serait devenu des frères de sang.
On leur devrait plus que notre âme : pour une poignée d’euros, une signature, un cachet une parole un contrat un droit au travail un droit d’être un rentier, le droit d'avoir enfin et définitivement le Droit : et quand on a le Droit avec un grand D, avec eux, déjà on aura aussi le droit aussi de casser les pieds aux autres.
C'est eux qui t'ont appris l'écriture et puis à signer qu'ils disent, ils sont sympathiques les occidentaux. Et maintenant que tu peux enfin et si tu signes avec eux un contrat n'importe quel contrat et il n'y a que cela des contrats par ici, comme quoi tu leur donnes ton âme, aux occidentaux : tu auras même droit au paradis qu'ils disent.
Juste à bien regarder toutes ces personnes si sympathiques dégoulinantes de moraline et de bien-pensées et de bonnes intentions, mais non : l'important c'est d'y croire, qu'ils disent !
Eux, à un moment et pour toujours, ils y ont bien cru, et quand on voit le résultat : les sourires dentifrices qu'ils ont synthétiques tellement synthétiques. Et même quand ils n'ont pas le sourire et même avec leur sourire dentifrice obligatoire, ils et elles sont sales, sales, et parfumé-e-s.
Apparemment, il y aurait juste des professionnel-le-s aussi comme un leurre: pour faire semblant d'être juste sales.
Il ne faut peut-être pas le dire comme ça si abruptement, parce que bon ça pourrait même passer pour un peu méchant, et puis cela ne se fait pas : mais ma plus grande peur par ici, l'une de mes plus grandes peurs par ici en tous cas : c'est de finir comme eux, de finir par leur ressembler.
C'est pas des blagues.
Et tu t'engages, et tu signes le contrat, hé, il faut que tu le saches, c'est pas que pour la vie, que jamais tu n'en sortiras de leur prétendue alliance, qu'on serait même plus que des frères ou des sœurs de sang pour finir à jamais, et qu'il faut tout faire pour la grande famille qui est la tienne maintenant, et même que tu te sacrifies, c'est comme ça que ça marche.
Ils n’arrêtent pas de répéter qu’ils sont des gens biens que c’en est même suspect tellement ils ont l'air de vouloir le prouver qu'ils sont des gens biens, et que l'argent est avec eux, et que les dieux sont avec eux, qu’ils sont dans l’axe du Bien, pas un iota un peu truand, et que eux ils savent, ils savent ce qui est normal, par un iota de recul pour le dire et l'ayant dit.
D'ailleurs ils disent que c'est ça le bon choix le seul choix, le choix logique. Que si tu ne choisis pas comme eux le monde des ombres, des apparences, des faux-semblants et des vrais serpents, tu finiras clochard sur un banc ou dans un asile, dans la misère de la misère, et puis voilà, c'est un choix, c'est ton choix, qu'ils disent.
En plus que eux, jamais ils ne tomberont pour la gamelle, qu'ils disent, il en faut des gens comme eux, et puis ils ont leur fierté, eux, ils ne perdent pas la face comme ça, eux, quand-même !
Et toi, toi maintenant, fais ton choix, qu'ils disent !
Mais ce ne sont pas des gens biens. Ce ne sont pas des gens biens.
D'ailleurs « professionnel » pour eux, ça n'aurait rien à voir avec le premier métier du monde et les portes de lupanar
Il n'y a pas que des débuts de vampires chez eux, il leur a échappé parfois, que tu penses trop, que c'est toi qui serait un peu mutant sur les bords : mais ne t'inquiètes pas, on lui changera la tête, et ça ira mieux après ! En attendant, juste peut-être que tu as le cuir un peu épais pour ne pas toujours comprendre tout ce qu'ils racontent, et ils en racontent ils en racontent, des bonnes des belles histoires des points de vue et images du monde.
Et même les chanteurs qui en chantent des belles histoires et des belles chansons, il leur a échappée parfois qu'ils avaient le droit de, qu'ils étaient indispensables point c'est tout, et qu'ils n'étaient pas du tout comme les autres professionnels qui avaient signé des contrats.
D'ailleurs « professionnel » pour eux, et surtout quand on est chanteur ou musicien ou comédien, ça n'aurait rien à voir avec le premier métier du monde et les portes de lupanar.
Ces gens-là aussi les comédiens les chanteurs et les artistes, ils en sont à ce point qu’ils ne croient plus depuis longtemps aux contes de fée, c’est bien dommage, c’est bien dommage.
« Comment fonctionne notre esprit ? Que sont les facteurs mentaux vertueux et non-vertueux ? Ces compréhensions sont nécessaires pour devenir acteur de son bonheur. » (lien).
Yes : qu'est-ce qui est vrai, qu'est-ce qui est faux ?
- selon Pixabay (lien)
Mais c'est eux la vérité, c'est pas toi : c'est eux les vrais « professionnels » ! Mais c'est toi, c'est pas eux : les champions des bateleurs dans la foire dans la fête foraine - quand-même !
Parmi tous leurs points de vue pour vendre leur camelote et gagner le paradis façon « un sous est un sous » sur le dos des niais, et pour eux j'en suis : ils sont champions les « professionnels ». Certains « professionnels » sont même spécialisés dans les idéalismes. Qu'est-ce que je me méfie des idéalistes, des vrais idéalistes comme des faux idéalistes ! Mais attention !
Mais attention, attention : je ne suis pas cynique, et sur ces questions là pas plus. Ni sur le fait qu'il faut bien « gagner sa pâtée », comme on dit.
Parmi les « professionnels », et nous arrivons dans un monde « so perfect » où tout le monde est « professionnels & il faut savoir se vendre » : les fanatiques rationalistes sont les plus inquiétants, les plus étranges et les plus incohérents de tous ces bonimenteurs et des bonimenteuses que sont les « professionnels ».
Je ne suis pas cynique.
Ce qu'il faut croire. Et le Pacte qu'il faut signer
Une très bonne symbolique qui résume les occidentaux, c'est le roi ou la reine d'Angleterre. De par son statut, il/elle est aussi le/la chef de l'église protestante d'Angleterre. Et tous les ans, le roi ou la reine d'Angleterre va s'agenouiller devant le maire de la City de Londres. La City, avec sa Bourse, est la première place financière au monde devant New York, Tokyo et Hong Kong (lien).
Et j’aime le fric, l’argent, mais ce n’est vraiment pas le sujet.
L'église protestante anglicane a juste été inventé et construite parce que Georges VIII d'Angleterre ne pouvait pas divorcer de Anne Boleyn à cause du Pape qui a dit que Dieu ne voulait pas entendre parler du Divorce : en cela le Pape ne pouvait pas se tromper non-plus, parce qu'il était infaillible, l’infaillibilité papale (lien) était et est toujours pour beaucoup une évidence.
Tout cela à la base est bien humain, bien humain. Mais ce n’est vraiment pas le sujet.
Et quand ils disent croire ou apprécier ce genre d'histoire et de comportement, il n’y a toujours pas une seconde de recul et même pas un millième de seconde d'humour anglais ou autre chez eux : ils sont comme ça.
C'est ce qu'il faut croire, et puis voilà.
Et d’ailleurs les occidentaux ils ne vont pas se mouiller eux-mêmes pour une seconde de réflexion personnelle c'est risqué quand-même !
C'est vrai quoi, cela devient difficile de ne rien risquer.
Ne faire que dégouliner de moraline et de bonnes intentions, ou ne pas pouvoir le faire, c’est vraiment le sujet.
Et d'ailleurs, les petits gars sérieux, c'est pas toi, c'est eux, et ils vont carrément le prouver, ils sont comme ça, eux. Et même que parfois les bonimenteurs dans la foire pour vendre leur camelote, il forceraient même la signature, et font en sorte que / qu'ils soient bien obligés de signer pour se faire soigner ou d'acheter leur camelote, les badauds et les niais !
Ils ont des tendances les petits gars sérieux à se regarder à me regarder dans les yeux style il y en a il faut qu'ils se sacrifient pour que ça marche, pour que ça marche, et des saints judéo-romains et des missiles Scud et même des missiles Patriot. Et puis les autres tous ceux qui ont signés : depuis longtemps maintenant, c'est eux qui savent, c'est eux qui risquent, surtout quand ils jouent au petit soldat de plomb, même quand ils font du sport balaise : et dans leur petite tète c’est eux les cadors c’est eux les professionnels, même quand ils sont rentiers ou qu'ils ont accédé au paradis.
Et ils croient qu’ils ne risquent rien, ils sont des millions et des milliards, qu’ils disent comme ça.
Quand-même.
Quand je me rapproche un peu des braves gens et des bons croyants, j'ai souvent une sensation un frisson mon poil qui commence à se hérisser. Ce n’est pas de la peur, non, ce serait plutôt comme de l'effroi. Quelle différence entre la peur et l'effroi, je ne sais pas trop, mais ce n'est pas de la peur, c'est bien de l’effroi.
Plusieurs siècles après cette histoire de l'église anglicane et du roi / de la reine qui va s'agenouiller chaque année devant le maire de la City adonnée à la religion du Fric et de l’Argent – et pourquoi pas après tout il peut même y avoir un sens ésotérique à l’argent le fric c’est chic - il parait que c’est une histoire normale anglaise, les millions d’anglais sont même très fiers de cette histoire et de cette symbolique cette seule évidence, il n'y a même pas besoin d'un millième de seconde de recul pour le savoir, que c'est une bonne et une belle histoire.
Si c’est une histoire normale je ne sais pas, déjà que je n’ai toujours pas très bien compris ce que pouvait signifiait exactement le mot : « normal ».
Heureusement, il y en a qui savent.
Est-ce que ça peut vraiment exister, et c'est vraiment le sujet ?
Mais les fanatiques de la religion rationaliste, tel « Descartes qui disait qu’un chien qui hurle n’est qu’une machine simple qui grince », me semblent bien pires encore que les fanatiques de la religion du Fric de l’Argent.
Il faut que je fasse attention à ne pas devenir comme eux beaucoup par ici, d’une manière ou d’une autre c’est le bon à-priori, et j’arrête là dans un premier temps mon jugement, qu’ici beaucoup aussi ne sont pas des gens biens. Comme on prend le temps de sentir le souffle, de bander l’arc, et de mieux ajuster l’action de.
Déjà avec leur monothéisme si misogyne et la psychanalyse idem, ils n'aiment pas du tout les femmes. Si tu n'y prêtes garde, ils vont même finir par te faire admettre qu'il peut exister des femmes méchantes, mais est-ce que ça peut vraiment exister, vraiment je ne sais pas.
Islande figure sculpture art monument statue - selon Pixabay (lien)
Est-ce que ça peut vraiment exister, des femmes méchantes ?
Ils consacrent beaucoup d'énergie pour te faire croire que les pseudo amis, les pseudo frères et surtout ta pseudo sœurette adorée et que tout ça c’est que du « pseudo », finalement ça existerait, et qu’à défaut d’être déconstrui-t-e, on serait tous un peu pervers quoi carrément, en tous cas déjà bien toxique quoi.
Le tout ce serait d’avoir le bon état d’esprit.
Ils doivent aussi en savoir plus que moi les occidentaux, sur les collègues qui sont de « pseudo » collègues : même que d’après certains experts, il y aurait plus de fantômes dans le monde du travail occidental que dans les châteaux en Écosse.
Ainsi beaucoup seraient morts parmi les occidentaux, et ils ne s'en sont même pas rendu compte, alors ils restent fidèles à leur entreprise jusqu'à la fin de la fin, ils ont signé quand-même, est ce que c'est possible ça je ne sais pas.
« Mystica et Berreta » : une approche « un peu ésotérique mais pas trop »
Dans le célèbre château de Chantilly, les cœurs des anciens propriétaires sont gardés dans la chapelle du château depuis si longtemps depuis si longtemps : [lien].
Et les nouveaux propriétaires croies-moi si tu veux : ils en redemandent aussi d’un tel amour symbolique, à la maison à la baraque au château de leur rêve, mais pourtant c'est qu'un tas de pierres.
Ainsi ressentent-ils pourtant un Amour un Respect et une Dévotion absolus pour leur Maison, allant jusqu'à lui laisser leur cœur de propriétaire entre ses murs, yes : [lien].
A jamais, à jamais !
Ils te disent même en te regardant pensivement, qu'il faut qu'il y en ait qui se sacrifient pour leur Maison, tellement ils n'ont pas le niveau pas le niveau, ces gens sales sales et parfumées en même temps, ces gens sales et qui brillent veulent briller tout le temps, qui ne perdent jamais la face.
Et ils disent même qu'il faut y croire, que ça a toujours été, qu'il y en a toujours eu pour se sacrifier, que c'est comme ça que ça a toujours marché.
A jamais, à jamais !
Ils n'ont même pas encore tué le père symboliquement, mais c'est pas toi, c'est eux, monsieur
Et tous ces gens qui sont dans la misère de la misère, autant que les courtisans de Versailles et de Chantilly [lien] qui sont sales, sales et parfumés, ils sont tous du même clan de la même famille et tous ensemble tous ensemble, ils vont y arriver ils y croient.
Les gens, ils en redemandent d'aller le matin au travail avec le sourire dentifrice et l'ambition chevillée au corps.
Rien que pour prouver que le cador [lien], c'est pas toi c'est lui !
Rien que pour prouver qu'au bout de la chaîne alimentaire, et si t'es pas content, tu vas voir ta gueule à la « recré », c'est lui, c'est pas toi.
Et ils l'exigent définitivement, qu'il existe enfin une éducation simple et une religion simple, que tout le monde puisse comprendre.
Et que tout le monde puisse le constater, que le cador, c'est pas toi, c'est lui !
A jamais, à jamais !
Tous, ils n'ont même pas encore tué le père symboliquement, mais c'est pas toi, c'est eux, monsieur, et le cordon ombilical avec la mère je ne te dis même pas, alors le reste la maison le château et même la tente la caravane le hamac mais de luxe, je ne te dis même pas non plus, comment ils n’ont pas le niveau non plus !
D'ailleurs si tu remarques bien, toujours le cœur sur la main et au nom des dieux et de Dieu, ils et elles sont prêt-e-s à te céder les souvenirs de leurs mères en photos en or en argent et même incrustés de diamants.
Et ils et elles n'ont jamais coupé le cordon ombilical, comme on dit.
Mais si tu as besoin vraiment besoin et cela peut arriver du moindre sou, en dollar ou en euro, alors malheur à toi, il y a quelque chose qui se referme en eux définitivement ils deviennent figés d’un coup, ce n'est même pas de la défiance on dirait presque de la haine, c'est pas des blagues.
Alors il n’y a même plus de faux semblant, tu es un « bon à rien » un « vandale un « ostrogoth » un « tramp » un « clochard » leur « ennemi de toujours » et en plus un « niais » : toi qui n'a toujours pas compris la leçon apparemment, qu'un sou est un sou.
En dollar ou en euro : « un sou est un est un sou », et voilà. Et maintenant et toujours pour ton bien et avec la moraline c'est leur truc et au nom de, ils vont maintenant que tu leur apparais faible enfin, enfin, et ils attendent ça depuis si longtemps, pouvoir te dépouiller jusqu’à l’os jusqu’à l’âme.
Ainsi sont-ils.
« Mystica et Berreta » : une approche « un peu ésotérique mais pas trop », une approche « rentrer réellement dans le vif du sujet, mais pas trop ».
épée légende Arthur pierre roche arme
« Mystica et Berreta »
Une approche « un peu ésotérique mais pas trop », une approche « rentrer réellement dans le vif du sujet, mais pas trop ».
Ainsi j’essaie l’approche, un coté Argent le Fric c’est chic bien terre à terre, et un coté Argent le Fric c’est chic un peu ésotérique « Soul Music », peut-être c’est chic aussi.
J’ai mes limites. Et peut-être que je me pose des questions que les autres moins.
Peut-être que j’ai un problème, heureusement il y a aussi la psychologie qui à mon sens blabla bla peut résoudre les 2/3 des problèmes. Et je sais, c'est pas moi monsieur, c'est lui.
Parfois quand-même je me demande ce qu'ils ont les gens, et je me demande ce que j'ai moi.
Est-ce que c’est des gens comme moi, comme moi, qui les ont descendu comme ça, que parfois ils sont tellement avariés que même les géants et leur marmite n’en voudraient pas ? Est-ce que c’est plutôt une chance pour moi que d’autres les ont descendu comme ça ?
Ou bien y a-t-il quelque chose ou même d’autres gens qui leur sont tombé dessus, et est-ce que le bon à-priori est que je dois faire plutôt attention attention à ne pas devenir comme eux et dans un dixième temps on va dire : peut-être compatir, peut-être ?
Est-ce que je me dois une indifférence et même un peu bienveillante ? Est-ce qu'ils sont comme ça juste un danger à eux-mêmes, et pas seulement le danger éventuel de ce quoi ou qui les a rendu à ce point-là, que même les Géants n’en veulent pas n’en veulent plus dans leur marmite ?
A-priori ils se sont auto-domestiqués entre eux (lien), et maintenant voilà, c’est le bal des casse-pieds ils voudraient que je sois leur oxygène gratis comme un ange ou un niais comme ils disent, et après souvent c’est inaudible je n’arrive toujours pas à comprendre ce qu’ils racontent. C’est pas des blagues.
Que parfois, et à défaut d’avoir le moindre doute, je me demande, c’est étonnant c’est étonnant. Heureusement, il y en a qui savent.
Ils sont comme ça, et ils savent très bien ce qu’ils font, c’est vraiment le sujet.
Sentiments d'un coup comme une approche de la jalousie maladive, de la jouissance d'un inquisiteur catholique, d'un raciste mais vraiment hard, d'un « vain » qui se permet de mépriser ouvertement une serveuse de restaurant, je vois ces sentiments affleurer effleurer chez les gens et chez moi et même, et même quelques secondes ou quelques millièmes de secondes.
La perfection n’existe pas, et là ni morale ni culpabilité ni culpabilisation : je me demande seulement et d’une manière très « esprit critique » si par hasard je peux devenir encore plus fou qu’eux, quand on regarde leur Histoire.
50 ans avant, les idéalistes traquent les homosexuels les révoltés les marginaux, les gauchers, ceux qui disent 3 mots qu'ils n'aiment pas, ceux qui commencent leur petit déjeune en ouvrant en cassant leur oeuf par le petit bout et non comme c'est la norme par le gros bout. Ils pouchassent et ils réprimandent avec une violence irrationnelle.
50 ans après, exactement les mêmes idéalistes veulent que nous fassions des anciens pestiférés des anciens marginaux des ancien hérétiques, les nouveaux modèles les héros que nous devons adorer.
Elles font carrément peur leurs histoires, aucune marge aucun recul, et pour quelques mots en trop même pas pour l’Argent le fric c’est chic, des mots même pas injurieux des mots même pas un peu provoc comme j’aime parfois : « je te dis pas » les conséquences.
La plupart du temps ces gens ont peur de tout, alors le conspirationiste, c'est pas eux c'est lui. Comme ça ils seront tranquilles.
Et puis les cadors c'est eux, c'est pas lui, ils ne perdent jamais la face, eux. Et dès que ça saigne quelques gouttes de sang dans un plumage, les autres viennent picorer jusqu'à ce que la mort de la malheureuse s'ensuive, ça se passe comme ça chez les poules, oui monsieur.
Mais les poules et les coqs, toujours pareil, c'est pas eux c'est lui, il faut comprendre. Non seulement ils et elles ne s'aiment pas du tout entre eux, mais ils ont une peur abyssale d'eux-mêmes.
Cela peut se comprendre, oh oui (lien) !
Mais peut-être que je vois chez les gens des sentiments qu'ils n'ont pas : mais ce n’est vraiment pas le sujet.
Méfie-toi des humains, dans l’ensemble et s’ils sont bien ce qu'ils paraissent, et tu as les yeux d'un bon tireur.
Méfie-toi tout particulièrement des « Occidentaux » par ici : ce ne sont pas des gens biens.
Donc.
À un moment dans la lumière comme dans l'obscurité, je sais ce que je sais et j'avance.
La jalousie, l’égoïsme, et l’amour, la guerre et la paix.
Je ne sais pas, à un moment dans la lumière comme dans l'obscurité, je sais ce que je sais et j'avance.
Et plus loin peut-être : quelque-chose de globalement incompréhensible pour moi, quelque chose d’effroyable, qui ne pique pas de la peur mais de l'effroi – je ne sais pas. Et j'avance.
A priori c'est mon niveau. C'est à peu près mon niveau.
Donc.
Il y a comme une gigantesque lame de fond qui engloutit les gens et « la ville des âmes en peine », tous les 50 ans
Si cela n'est qu'une affaire humaine, à priori à partir de là, tout cela devrait se résoudre tout seul.
Si en face j'ai les géants, et ici les gens ils en sont à ce point qu’ils ne croient plus depuis longtemps aux contes de fée, c’est bien dommage, c’est bien dommage, à priori je peux y arriver.
Si j'ai un dieu jaloux sur moi, et d'après la Tradition, il y en aurait, qui cherchent même querelle aux Dieux, alors j'aurai quand-même une toute petite chance.
Mais la plus grande lame du spot, et le risque de surfer avec : c’est quand même les fanatiques de la religion rationaliste, qui tel Descartes qui disait qu’« un chien qui hurle ce n’est qu’une machine qui grince » ce n’est qu’une machine simple qui grince.
C’est monstrueux, de sortir des choses comme ça.
J'aurai une toute petite chance, parce qu'à partir de là et à tout ce que j'en comprend, A priori on a super-bien tiré.Tir - Moi. Je. Personne.
Il y a comme une gigantesque lame de fond qui engloutit les gens et « la ville des âmes en peine » (lien), tous les 50 ans.
Vu la lame vue de loin sur la plage on va dire, il vaut mieux avoir le bon état d’esprit, c’est sûr, à défaut de devenir moi-même un fanatique de la religion des mots. Et je ne parle pas de ceux qui ont ici comme des yeux curieux de noyés depuis longtemps, et dans ma rue ils sont des passants qui passent comme les autres.
Ils ont quelque chose.
🤔👍
Machine à écrire Remington machine à écrire portable, et c'est juste l'envers du Colt Navy 1851 (lien) - imagé toujours selon Pixabay (lien)
Dans un pays et une autre histoire
Apparemment des choses que certains dieux croient, et que même un enfant humain ne peut croire
D'après la Tradition donc, il y aurait aussi des dieux jaloux. A tout ce que j'en sais, la plupart des gens peuvent devenir jaloux, ou ressentir la jalousie plus ou moins facilement, mais quid de la jalousie celle qu'on appelle d'ailleurs « maladive » ?
« Loki [lien] n'est pas un dieu à part entière, il n'appartient ni à la famille des Ases ni à la famille des Vanes. Loki est le fils de Laufey, qui est peut-être une Ase mais que l'on considère plus volontiers comme une géante (les géants des glaces sont hermaphrodites), elle l'a engendrée avec le géant Fárbauti. » (Wikipédia)
Mais est-il possible d'être à la fois un dieu et en même temps d'une jalousie dite « maladive » ? Je ne parle pas de jalousie, mais de jalousie maladive. C'est bien possible, et même parmi les dieux appartenant à l'Axe du Bien, des dieux très très bien, comme on dit, et pourquoi pas, même des pires que Loki, c'est possible, et même qu'on ne s'y attend pas forcément.
« Il y a des choses que certains humains croient, et que même un chaton ne pourrait croire » [lien]. Il y a apparemment des choses que certains dieux croient, et que même un enfant humain ne peut croire, et toujours d'après ce que j"ai compris de la Tradition.
C'est perso, ben oui.
Hypothèse :
Cela me fait penser qu'il y a des pays où il y a peut-être carrément l'inverse que des Merlin l'Enchanteur et les 30 000 guerriers de Shiva, à l'ascendant bienveillant : leur inverse, ça pourrait être des shérifs de Not-In-Game [lien] du genre méchant que je n'y peux moi-même rien, si tenté que cela me concerne, que j'ai la moindre chance, si tenté qu'il y en ait le moindre intérêt, et puis surtout si tenté que j'ai envie de m'en mêler de m'emmêler.
Et j'ajoute, si tenté que dans l'un de ces épiques moments-là, je me sente moi-même l'âme d'un missile Scud ou d'un missile Patriot, d'un saint ou d'un Chörten [lien], d'un John Wayne à la période très naïve, etc.
À-priori je ne vois pas du tout.
Loki, il a peut-être parfois « bon dos » comme on dit. Et même qu'à un moment, qu'est-ce que tu veux que j'en sache, et même toi ?
Qu'est-ce qui est vrai, qu'est-ce qui est faux ?
A priori on a super-bien tiré à l'échelle la lance la flèche la balle d’un Remington modèle 1858, ou d'une Machine à écrire de marque également Remington modèle Monarch De Luxe, ou ....
Que même parfois : je pourrais me demander comme dans le roman de Jules Verne Les Tribulations d'un Chinois en Chine (voir note en PS) s'il ne faudrait pas connaitre au moins un peu la peur ici et là pour retrouver le goût l'envie de vivre.
Et toujours d'après ce même livre de Jules Verne, il faut au moins un bon ami qui est capable en bluffant peut-être, peut-être, de vous redonner « l'envie d'avoir envie » [lien] cette sensation d'éveil et de souffle mouillé de la rosée d'un matin clair comme ça, dans un pays et une autre histoire.
Le reste, qu'est-ce que tu veux que j'en sache ?
C'est un peu long tout ça, mais j'y arrive enfin à le dire qu'en fait je ne sais pas grand-chose, que je n'ai pas grand chose à dire, et qu'en plus je n'ai littéralement rien à proposer !
Ouf !
Odal GOLD
PS :
Les Tribulations d'un Chinois en Chine (roman de Jules Verne)
Résumé
Kin-Fo est un jeune Chinois riche, qui est indifférent à tout et ne connaît pas le bonheur. Un jour, il se retrouve ruiné, sa banque américaine ayant fait faillite. Ne voulant pas imposer à sa future épouse une vie misérable, il préfère mourir. Au moment de se donner la mort, il se rend compte qu'il ne ressent rien, et décide qu'il ne peut mourir sans connaître d'émotions au moins une fois dans sa vie. Il demande donc à son maître et ami, le philosophe Wang, de le tuer dans un délai imparti, ce qui, il l'espère, lui fera redouter la mort et éprouver quelques émotions. Wang accepte, puis disparaît. Plus tard, Kin-Fo apprend qu'il n'est pas ruiné. Il veut alors vivre et épouser Lé-Ou. Cependant, Wang reste introuvable et Kin-Fo le pourchassera dans toute la Chine pour lui dire qu'il ne veut plus mourir. Kin-Fo comprend la valeur de la vie en étant sous la menace constante d'être assassiné par Wang.
Morale de l'histoire : il faut avoir connu le malheur, la peur, les soucis pour pouvoir connaître et apprécier le bonheur.
« Tir » : Définition
1-Action, manière de lancer, à l'aide d'une arme, un projectile sur un but appelé objectif.
2-Ensemble de projectiles envoyés par une ou plusieurs armes.