Sujet de dissertation : le niveau « technologie + conscience » / 2
Sujet de dissertation : niveau « technologie + conscience » / 2
Je sais qu'il y a bien des choses qui me dépassent et pas que la magie des smartphones et des avions de combat ultra-modernes.
Question « technologie + conscience », il me semble que je correspond plutôt à l'époque du « pistolet Remington 1858 Navy » (lien).
Et ce : dans la lumière comme dans l’obscurité.
Comme dans les westerns américains.
Et certes, je ne crois pas que je correspond exactement à la technologie moderne.
Et certes : je me fais aussi des films et des films, et j’en ai pleine conscience que je me fais juste des films.
Comme dans les westerns américains.
Certains films, c’est de la bonne coke vraiment, et je suis prêt à payer et même à en revoir certains.
Du cinéma et des rêves pleins les yeux, et même que c’est bon pour la santé et le moral.
Mais cela peut se discuter aussi.
Coucher de Soleil - Western Stories - de Pixabay (lien)
Le cinéma, c'est chic : dans l'obscurité comme dans la lumière.
Une belle invention technologique que celle des frères « Lumière » (lien), c’est la vérité de la vérité, oh yes.
Une belle invention technologique aussi que celle de ce pistolet de la guerre de sécession pistolet « Remington 1858 Navy ». Et en plus il a un cachet extraordinaire.
Et déjà il a une histoire, et déjà il a des choses à dire.
Et pas que le général Lee, que le Nord désirait à sa tête.
Et pas que le que le général Lee, que le Sud eut à sa tête.
Ça, j'en suis sûr.
Des choses simples et des choses évidentes aussi : oh yes !
Des choses que je sais intuitivement, autant que les petits chien et les chatons. Et même autant que les savent : les buses dans le ciel, et les tigres dans la jungle (lien).
En moderne, ça j'en suis sûr, oh yes !
C'est le niveau de la guerre de sécession et du Nord et du Sud + un tiers de femmes dans les armées.
Et le niveau empathique que l'on peut encore avoir dans d'aussi grands déserts que sont les grandes villes, et que parfois il n'y a plus que le désert et puis comme des mirages qui apparaissent, et qu'on peut même arriver à en délirer dans ces si grands déserts que sont les grandes villes.
Et puis les champs et les forêts pas mieux, des champs et ces forêts beaucoup plus loin alors : peut-être.
Et perdu dans le désert immense le vent qui soulève son sable et au-dessus, le soleil au zénith : 50 cow-boys et seulement une fille, complètement perdus complètement paumés dans ce désert gigantesque.
Et que même d'eux, il faut se méfier, et pas que du désert.
Et comme dans les westerns américains, il faut aussi se méfier d'eux, et d'elle.
Oh yes.
Comme dans les westerns américains.
Et le niveau empathique de ce que l'on appelle : la dernière cigarette du condamné.
Comme dans les westerns américains.
Ça, j'en suis sûr.
Country-music-et une guitare - de Pixabay (lien)
Après, peut-être que parfois il me semble bien, et que peut-être c'est vraiment comme ça.
Mais c'est la vérité de la vérité : heureusement il y en a qui savent, c'est ça qui est rassurant – il parait.
Il parait que du désert et du sable soulevé par le vent et sous le soleil au zénith, et le soleil et sa lumière qui éclabousse tout : il surgit souvent ce genre de mirages ou d’hallucinations, des oasis et des palais, et des gens qui savent.
Il parait qu'il y a des gens qui sont comme ça, et dont on ne peut mettre leur passion de la vérité de la vérité en doute.
Et ce ne serait pas qu'une légende urbaine, ces genres de si grands déserts, juste le genre de pays qui n'existe pas.
Et ces légendes urbaines, elles parlent aussi comme quoi : il n'y a pas de plus grands déserts que les si grandes villes, « et que parfois de ces déserts, il y a des mirages qui apparaissent, et qu'on peut même arriver à en délirer, dans ces si grands déserts que sont les grandes villes. »
Il parait qu'il y a des gens comme ça, qui ne mettent pas qui ne mettent plus de point d'interro depuis si longtemps, et qu'est-ce que la vérité de la vérité. C'est comme ça.
Et peut-être c'est vraiment comme ça, simplement comme ça : que c’est vraiment mon niveau « technologie + conscience », et puis que ça s’arrête là.
Et puis surtout, que c’est mon niveau de superstition et que ça s’arrête là, aussi.
Et puis de toute façon : qu'est-ce que tu veux, qu’est-ce que tu veux que ça change ?
Et toujours la poussière soulevée par le vent, et sous le soleil exactement qui éclabousse tout : peut-être parfois une bonne histoire.
Une bonne histoire comme d’habitude, comme les racontent depuis toujours et toujours de la même façon les contes pour enfants et les légendes urbaines.
On ne sait jamais.
Cela ne change rien.
Et puis en y regardant bien, comme une envie de m’allonger face à ce désert et ce soleil gigantesque.
Et puis de bailler.
Et puis de bailler.
Et je sais aussi qu'entre le ciel et la terre, il y a toujours un « peut-être ».
Et sur cette dimension-terre, aussi.
Odal GOLD