D'ici quelques années j'irai prendre un café dans un autre endroit et avec d'autres gens

Et il vaut mieux le préciser : tout cela n’est qu’une histoire de science-fiction maladroite et évidemment : cela ne vaut pas l’imagination et le savoir-faire d’un écrivain professionnel.

C’est un peu décousu tout ça : d’accord.

Mais au moins j’aurai essayé d’écrire quelque chose de réussir quelque chose au moins une fois dans ma vie : « c’est pas » facile.

Faut voir.

door-serrure - de Pixabay (lien)

La porte de Sharon Tate (lien)

Dans l’histoire de la porte de Sharon Tate (lien) : il y a un petit dealer qui ne fait pas trop attention à son argent, une bande de macs blacks (lien), et une actrice mariée à un français et dont les derniers films traitaient justement de l’amour.

C’est le seul point commun que j’ai pu trouver en ce qui concerne ces gens, des gens qui sinon se seraient croisés gentiment sans même faire attention.

Tous ces gens se sont fait assassiner par la secte Manson dans les années 1960 (lien).

Le rapport entre tous ces gens qui se sont fait assassiner : c'est le rapport entre l'Amour avec un grand A qui ne concerne pas grand-monde (lien) et le X avec un grand X comme dans l'industrie du X, ou le X dans le mot « Txerra » (cochon, en basque), et enfin, le mot « Pig » (en anglais) ou « cochon » (en français).

C'est la porte de Sharon Tate.

L’histoire de la porte de Sharon Tate, c'est les couteaux en obsidienne des anciennes femmes aztèques quand elles sacrifiaient leurs enfants en riant, pour que la pluie elle tombe, c’est une histoire aussi comme ça.

Et finalement, les pires des pires sont ceux qui ont acheté cette porte de Sharon Tate, avec tracé et maculé dessus par la secte Manson, cette inscription « Pig » (ou cochon, en français) faite de son sang et de celui de son enfant à naître, qu’ils ont affiché chez eux comme un trophée.

Terra (en basque) veut dire La Terre (en français)

Txerra (en basque) veut dire Le cochon (en français)

« Shar on t ate », en basque, veut dire « partager sur la porte », en français.

Si on espace les voyelles de cette manière.

Il y a « Terra Vitta », en basque, qui signifie « Terre de vie » en français. Et puis il y a aussi « Txerra Vita » en basque, qui signifie « Viande de porc » en français.

Et certes par ici je ne me plaints pas. Et en fait presque toujours en manque sexuel et en manque affectif. En fait. Et certes cela ne regarde que moi.

Il y en une, je me mets dans une certaine position attitude, et elle me voit, mais d’un coup je ne l'intéresse plus du tout. Ni même pour « le fric c'est chic » ni même pour rien.

Il y a quelque chose comme une possibilité qu’elle semblait au moins éprouver un vingt millièmes de seconde d’empathie, et d’un coup il n’y a même plus cette possibilité ni pour moi ni pour le fric ni pour les armes ni pour rien.

C’est surprenant d’un seul coup, comme ça, et dans une certaine position attitude, je crois bien avoir remarqué quelque chose d'impossible.

Et certes cela ne regarde que moi.

C'est comme un déclic d'un coup, plus rien n’intéresse, rien de rien, et plus la moindre empathie, ni même pour le « fric c’est chic », rien.  

baby-bop - talon - talon haut - de Pixabay (lien)

Tu devais mourir

J’ai remarqué ce manque d'intérêt d'un coup, en particulier chez les femmes.

Mais j'ai remarqué pareil chez des gars qui ne se sont pas vus depuis des années ou même qui ne sont jamais vus, mais du point de vue de ce qu'ils me disent. : et c'est complétement  nouveau ils me disent dans la même semaine exactement les mêmes phrases toutes faites, et à la virgule près.

Et comme avec une absence d'empathie d'un coup, tout à coup ils me disent par exemple qu'il nous faudrait totalement obéir aux savants et qu'on ne peut pas comprendre leur passion, et ces gens sont même des amis et ils sont imbibés de culture française qui prévient pourtant des savants, et ils ne sont pas non plus des lâches.

Et que ce qu'ils me disent d'un coup et pareil à la virgule près, « c'est même pas » passé à la télévision.

C’est parfois surprenant de surprenant.

Dans ces cas-là, il n’y a pas ou plus d’empathies ni de réflexion personnelle, ce qui du point de vue du gars relativement, relativement simple que je suis : est absolument impossible.

Il y a toujours 50 cow-boys juste pour une seule cow-girl, comme dans les films westerns

Moi je vois ça souvent comme dans les westerns américains, et dans ces films, si je résume de résume : il y a toujours 50 cow-boys juste pour une seule cow-girl. Et c'est ma manière habituelle de voir quelque chose une observation qui est quand même surprenante.

Si je regarde l'histoire connue en général, je dirai que c'est comme ça depuis des milliers d'années et des milliers d'années.

Les femmes ne donnent plus leur lait et les hommes ne donnent plus leur savoir. D’un coup, les unes me voient il y a zéro empathie même pour « le fric c’est chic » c’est impossible comme des « babies-dolls » complètent vidées de leur substance.

Et les autres aussi : plus d'empathie plus de réflexion personnelle possible, c'est impossible. 

Il y a même des artistes qui semblent très connus et très respectés de tous et même qu'eux aussi ne rigoleraient jamais et ne feraient jamais des blagounettes en fait.

Mais bon, quand-même.

Comme dans le cas de Maurice Chevalier avec sa chanson Thank Heaven for Little Girls.

Moi je dis moi aussi suspect music, very glauque music, very strange music : (lien)

Et certes les adeptes de la famille LOKI (lien) sont parfois plus royalistes que le roi et la famille du roi bien sûr, et certes la famille LOKI elle a souvent bon dos. Beaucoup de ces gens, de ces savants qui fabriquent des Frankenstein (lien), ont des passions encore plus incompréhensibles.

Et certes, il n’y a qu’eux pour vraiment savoir, de ce savoir des gens très très sérieux.

Ces savants, ce que je veux, ils n’ont pas le droit de le vouloir.

Ces savants, ils ne rigolent jamais et ils ne font jamais des blagounettes (lien) - eux.

A une ou deux mythologies près, LOKI et Prométhée (lien), c’est pareil.

Et la famille LOKI, beaucoup d'adeptes par ici.

Et même que Prométhée, c’est le chouchou par ici.

Et certes les histoires de bad-boys et même les histoires de princes charmants, peut-être que ça existe : dans les pays qui existent.

Et même que ce que je raconte là n'est qu'une tentative pour un début d'article de science-fiction sur ce genre de pays qui n'existe pas, et même que c'est démontré : les pays ça existe forcément et la réalité ne peut pas dépasser la science-fiction.

Et même qu'entre le ciel et la terre tous ces savants qui savent, ils ont même réussi à le démontrer. Et ils n'ont aucun doute là dessus : la réalité ne peut pas dépasser la science-fiction, tout le reste n'est que du simple délire.

Je me répète mais bon, là encore : « C’est un peu décousu tout ça : d’accord, mais au moins j’aurai essayé d’écrire quelque chose de réussir quelque chose au moins une fois dans ma vie. »

Je peux toujours espérer, faut voir.

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