Hart to Hart, le risque de l’Amour passe par l’amour du risque
Hart to Hart, le risque de l’Amour passe par l’amour du risque (lien)
😉💃🐕🤔😅🤐🤔👍
Ils et elles savent très bien ce qu’ils font
Ni l’argent ni Nietzsche le philosophe (lien), ni les armes. Ils font juste des fiches pour réussir les concours. Mais c’est juste pour ça, sinon ils le disent eux-mêmes volontiers : ils n’y comprennent rien et ils s’en fichent.
Parfois ils comprennent Nietzsche comme la sœur de Nietzsche, qui dit-on a voulu le séquestrer, le couper du reste du monde et lui confisquer son œuvre.
C’est comme ça.
Ils répètent tout le temps « Un sou est un sou ».
Tous ces professionnels qui s’activent et pour dire un gros mot « qui travaillent », pas tous mais la plupart, cela fait longtemps qu’ils ont perdus jusqu’au goût de ce qu’ils font.
Et ils et elles savent très bien ce qu’ils font.
Ce « pistolet Remington 1858 Navy » a - vraiment et à tous points de vue - une histoire et un cachet extraordinaires.
« C'est pas » des blagues.
Le plaisir simple d'être un passant qui passe
Dans le film « Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan » (lien), un des héros dit : « Mon arrogance c’est ma seule richesse ! ». C'est ce qui lui permet apparemment d'avoir du goût pour ce qu'il fait, provoquer tout le monde en duel, que le monsieur il est juste quand-même très susceptible pas du tout le genre à rigoler comme ça avec le premier passant venu.
Ce personnage aurait donc une espèce de droit naturel ou/et juridique à l'arrogance, c'est son truc comme on dit. Et pourquoi pas, si c'est ce qui lui va.
D'après le dictionnaire « Le Robert », arrogance signifie insolence méprisante ou agressive. Ce serait donc l'inverse de l'humilité, qui toujours d'après « Le Robert », serait sentiment de sa propre insuffisance qui pousserait à réprimer tout mouvement d'orgueil.
C'est quoi l'intérêt de se montrer arrogant, ou au contraire de se montrer humble, je ne comprend rien et je n'ai jamais rien compris de ce genre de verbiage (lien).
Même question richesse, et pour parler du Droit avec un grand D, celui naturel, celui des humains et/ou celui des affaires : est-ce que je vaux seulement un seul sou ? Déjà « Le Droit avec un grand D » : parfois, parfois oui pour dire je ne comprends rien à ce qu’ils disent et là en particulier.
Un passant qui passe je suis, et même pas arrogant : (lien).
Pourtant, tous ces braves gens qui vont aller très très loin et très très haut, quand ils seront pendus tout en haut, et bien, tout en haut, déjà on dirait qu'ils tendent le poing, et ils vocalisent enfin leur point de vue :
« Tu n’es pas mieux que les autres ! »
Dès que tu as un pied à terre, ils vocalisent la vraie pensée qui les fait tout le temps activer travailler (pour dire un gros mot) et même ceux et celles qui ont la chance de pouvoir éventuellement ne pas travailler :
« C’est qui le plus fort, maintenant ? »
Je ne dis pas. Mais c’est tout ce qui reste d’encore vivant et du goût du vivant chez eux.
Très très sérieux et très très sérieuses
Le stade après, c’est quelque chose que je n’arrive pas vraiment à comprendre ni à imaginer. Cela n'existe pas. Même une fois qu’on s’est penché sur le sujet, c’est quelque chose qui à la finale n’existe pas beaucoup plus qu’avant, on va dire ça comme ça, si on peut dire ça comme ça.
Un peu comme dans le film d’horreur « Shining » (lien), où le personnage de Jack Torrance, joué par Frank Nicholson, écrit depuis des jours son roman sur une machine à écrire.
On entend le bruit du clavier qui crépite ça n’arrête pas, l’inspiration sans doute.
Et puis non, et d’un coup le spectateur comprend qu’il y a quelque chose de vraiment inquiétant.
En effet, en quelques images, le spectateur dans la salle est obligé d’admettre que le personnage joué par Frank Nicholson tape sur son clavier, depuis des jours et des jours, exactement la même phrase sur des pages et des pages et des pages.
Folie et tromperie.
Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. « Un sou est un sou. »
« C’est qui le plus fort, maintenant ? »
Et sinon ?
Il y en aussi des petits gars très très sérieux qui vont très loin très très haut, le genre qui ne perd jamais la face, jamais, pour me dire les yeux dans les yeux - façon cadre japonais :
« Il y en a, il faut qu'ils se sacrifient pour la société. C'est comme ça que ça marche, c'est comme ça que ça a toujours marché, pour que le « time » puisse devenir « money », et toi avec ! »
Ces petits gars, et « même des qui pilotent des avions de combat et manient les flingues », ils me regardent parfois comme avec des yeux de noyés.
Et du côté des femmes des petites nanas (lien) également très très sérieuses du genre qui ne rigole jamais en fait, ça n'a pas l'air vraiment mieux.
Il semble que les anciennes mères aztèques égorgeaient leurs propres enfants pour que la pluie tombe, et pouvoir se sentir protégées au ciel.
Et elles riaient, riaient, tout en les égorgeant.
Même toi tu ris pourquoi tu mets un point d'interro ?
Chez les anciennes grecques de l'Âge de Bronze (lien), telle la mère du fameux héros Achille (lien), certaines mères tentaient de faire de leurs enfants des dieux pour être protégées pour toujours.
Quand elles n'y arrivaient pas (« Tu m’étonnes ! »), elles brûlaient sur l'autel ces enfants qui d'après elles n'auraient même jamais du naître (lien).
Au temps des Anciens Grecs, Germains, Hindous : les braves gens parlaient tous de cet « Âge d’Or » (lien) où tous seraient heureux et même bienheureux pour toujours, cet « Âge d’Or » qui viendrait immédiatement après l« Âge de Fer », qui correspond à notre époque.
Aujourd'hui « je ne sais pas, mais leurs voitures, leurs serrures et leurs armes sont bien en Fer » (lien).
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Aujourd'hui dans cet « Âge de Fer » qui correspond à notre époque selon les Anciens (lien), les braves gens, ils et elles parlent tous aussi de ce paradis qui va venir pour eux et où tous seront heureux et même bienheureux pour toujours.
Le risque de l’Amour passe par l’amour du risque
Il a bon dos « l’Âge de Fer » (lien).
Parfois je me demande si certaines mères de notre « Âge du Fer » (qui a bon dos) ne font pas tout pour transformer leurs enfants en anges, comme ça textuellement formulé : « sois un ange et tais-toi ! »
« Ou bien disparais, toi qui est un mauvais ange et qui n'aurait même pas dû naître ! »
Et puis elles les sacrifient en douce et en silence pour avoir une protection au ciel.
Va savoir.
En particulier chez ces prostituées bourgeoises, et le fruit de leurs entrailles qui leur permet de manger légalement le cœur du père : elles auraient peut-être aussi besoin en plus, elles aussi, d'une protection au ciel. Mais « toutes les études le montrent et le démontrent. Il y a des savants qui savent. Il faut juste rester à sa place et savoir se taire devant la science. » (lien)
Il faut donc demander aux quelques « grands experts de la culture gréco-occidentale » (lien) ce qu'il faut penser de nos origines grecques et même aztèques. Eux ils savent (lien), et eux ils assument.
Ils ne verront certainement pas ça du même œil. D'ailleurs même leur réponse éventuelle, assuré de comprendre je ne suis pas du tout.
Moi je veux juste rester à ma place et pouvoir me taire devant la science.
Et d'ailleurs peut-être, oui peut-être que les occidentales, elles ne sont pas meilleures ni pires que les anciennes femmes aztèques et que les antiques femmes grecques !
Et même les femmes libérées comme on dit, et même des « qui conduisent des avions de combat et qui manient les flingues » : pourquoi seraient-elles vraiment meilleures ou pires que les anciennes femmes aztèques ou que les antiques femmes grecques ?
Va savoir.
Pour l'amour du risque (Hart to Hart), le risque de l’Amour passe par l’amour du risque, Jonathan et Jennifer, et Max (lien).
Va savoir.
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