Du véritable sentiment de Frédéric Nietzsche pour sa sœur
Du véritable sentiment de Frédéric Nietzsche pour sa sœur
Déclaration pour le moins révélatrice du véritable sentiment de Frédéric Nietzsche (lien) pour sa sœur Elisabeth Förster-Nietzsche (lien) :
« Quand je cherche mon plus exact opposé, l’incommensurable bassesse des instincts, je trouve toujours ma mère et ma sœur » (Ecce Homo, Pourquoi je suis si sage, § 3).
Sea sun et instant présent - de Pixabay (lien)
Des dizaines d'années à me demander de quoi ils et elles causent
Et même chez les Gringos des choses curieuses. Des qui me disent qu'il faut une religion simple que tout le monde puisse comprendre (SIC : mais comment peut-on sortir des inepties pareilles ?), et puis d’ailleurs qu'on va me changer ma tête et que ça ira beaucoup mieux après. Des gringos qui me fixent qui me disent que dans la société il y en a toujours eu qui se sont sacrifiés des victimes et … sinon rien. Des gringos qui me disent qu'ils ne comprennent rien au film « Le bon, la Brute et le Truand » de Sergio Leone, vu que d'après eux après tout, ce ne sont « tous les trois que des truands », et que d’ailleurs pour rester à jamais dans l’axe du bien du bien comme eux : je ne dois surtout pas posséder une arme ni penser à de telles choses.
Des dizaines d'années à me demander de quoi ils et elles causent.
J'en suis arrivé à la conclusion que beaucoup ici avaient un problème avec l'Invisible, quels que soient les noms qu'on peut lui donner : Dieu, Bouddha, Allah, Shiva, Odin, Jupiter, ou même Chrome le dieu du héros « Conan le Barbare » dans le film.
Même pour écouter de la musique ou ne rien faire, ils semblent avoir besoin du prétexte que c'est bon pour la santé ou utile pour mieux se concentrer et mieux travailler ensuite.
Pour eux la musique aurait forcément une utilité.
Et là je me demande.
Ils semblent effectivement remontés comme des coucous bien huilés d'une pendule suisse à toujours refaire les mêmes gestes pendant très longtemps - Coucou ! Coucou ! - mais attention, le coucou et la pendule suisse qui tourne en rond et qui se répète à l'infini, c'est pas eux, c'est toi.
Comme dans le conte du petit chaperon rouge (lien) avec la grand-mère mangée par le loup, ils se revêtent souvent des habits de leurs victimes, pour mieux se cacher.
Leur attitude est logique et courtisane juste de savoir se vendre, et que paraître ou ne pas paraitre, telle serait toute la question, et comment cibler le coeur pour faire cracher l'argent et que les autres c'est juste des petits cochons - c'est eux les petits gars sérieux les vrais professionnels ils font le job c'est comme ça.
Depuis longtemps ils n'aiment plus la musique pour elle-même, eux les gens « libres, majeurs et vaccinés », ils et elles s'en défient carrément de la musique.
Ils et elles ont un vrai problème avec l'Invisible, et pas que comme l'équipage et les passagers du Titanic (lien), et pas que comme les habitants de la ville de Hammelin (lien).
C'est juste mon point de vue et aussi ma superstition propre ma petite fumette perso. Et certes je n’ai pas le monopole du cœur, ni des Dieux (lien).
La sœur de Frédéric Nietzsche, Elisabeth Förster-Nietzsche, devait incarner le genre « esprit de pesanteur » dont son frère parle dans certains ouvrages, et il précise (lien) :
« Je ne pourrais croire qu’à un Dieu qui saurait danser. Et lorsque je vis mon démon, je le trouvai sérieux, grave, profond et solennel : c’était l’esprit de lourdeur. »
Elisabeth Förster-Nietzsche devait se prendre littéralement pour une louve.
La sœur de Nietzsche a dû regarder observer son célèbre frère des dizaines d'années avec ce genre de considérations :
« Pour l'instant tu es trop gros pour moi ta sœur adorée mais plus tard je te mangerai j'accaparerai ton œuvre tu me permettras de briller, pour toi tous ces efforts dont je ne comprends rien, et par contre pour moi ta sœur adorée : la situation sociale enviable, les couronnes l'argent le panache Invictus la place d’Impératrice dans le Grand Cirque, le pouvoir parce que oui, pour moi ta sœur adorée, tu es juste comme une mine de pierres précieuses pour l'éternité, toi mon frère Frédéric Nietzsche. »
J’imagine très bien Elisabeth Förster-Nietzsche soliloquer comme ça, ruminer comme ça toute sa vie et depuis le début de sa vie, ou lui ayant dit ça carrément ça, comme ça, un jour qu’il était d’après elle irrémédiablement par terre.
L’influence néfaste qu’eut cette sœur
journals.openedition.org (lien) :
« Il faut ici souligner l’influence néfaste qu’eut cette sœur, qui chercha par tous les moyens à instaurer une sorte de culte nietzschéen. Ce « lama », comme Nietzsche la surnommait ironiquement, épousa en 1884 le Dr Bernhardt Förster, l’un des chefs du parti antisémite en Allemagne. Le mépris qu’éprouvait Nietzsche pour ce personnage n’avait d’égal que la répulsion ressentie à l’égard de cette sœur pour qui la pensée de son frère ne devait servir que la cause antisémite puis nazie. En témoigne une lettre que Nietzsche envoya à Elisabeth le 26 décembre 1887, dans laquelle il fait part de sa plus grande désapprobation quant à ce mariage :
« Car vois-tu bien, mon bon lama, c’est pour moi une question d’honneur que d’observer envers l’antisémitisme une attitude absolument nette et sans équivoque, savoir : celle de l’opposition, comme je le fais dans mes écrits […]. Ma répulsion pour ce parti (qui n’aimerait que trop se prévaloir de mon nom !) est aussi prononcée que possible, mais ma parenté avec Förster et le contre-coup de l’antisémitisme de Schmeitzner, mon ancien éditeur, ne cessent de faire croire aux adeptes de ce désagréable parti que je dois être un des leurs […]. Et je ne peux rien faire pour empêcher que les feuilles antisémites utilisent le nom de « Zarathoustra » : cette impuissance m’a déjà presque rendu malade plusieurs fois » (Lettres choisies, Gallimard, p. 267).
On relèvera également cette déclaration pour le moins révélatrice du véritable sentiment de Nietzsche pour sa sœur : « Quand je cherche mon plus exact opposé, l’incommensurable bassesse des instincts, je trouve toujours ma mère et ma sœur » (Ecce Homo, Pourquoi je suis si sage, § 3). Wotling rappelle que ce court passage ne figure pas dans la première publication d’Ecce Homo, « version largement expurgée par sa sœur ». Et ce n’est probablement pas un hasard si les anti-nietzschéens passent la plupart du temps sous silence la présence dérangeante (pour Nietzsche comme pour eux) d’Elisabeth, tout comme ils puisent largement leurs sources dans ce déplorable ersatz de la philosophie nietzschéenne qu’est La Volonté de puissance. Discuter une pensée qu’on estime friable, certes ; mais l’exigence et la rigueur philosophique nous contraignent à une fiabilité et à un choix pertinent des sources qu’on ne peut négliger, sous peine de voir son édifice argumentatif s’écrouler comme un château de cartes. »
Frédéric Nietzsche appelait sa sœur : « mon bon lama »
« LAMA : traduisant le sanscrit « gourou », « lama » désigne le maître spirituel, plus précisément, dans le cadre du vajrayana. À l'origine, le terme était réservé aux maîtres pleinement réalisés. De nos jours, il s'applique aussi à des personnes ayant une certaine expérience de la voie et pouvant l'enseigner. »
« Les lamas et les alpagas sont de petits animaux assez semblables aux chameaux qui vivent dans les régions montagneuses froides et arides d'Amérique du Sud. » (lien)
Elisabeth Förster-Nietzsche et tout ce qui va avec, c'est juste ça :
« Et maintenant, c'est qui le plus fort maintenant !? »
Et même moi !
Mais chez eux et chez elles, rien d'autre.
Et chez eux et chez elles, demain rien d'autre.
Mais dans la proportion.
On dirait que beaucoup qui ont ces gros problèmes avec l'Invisible, ils et elles ne pensent qu'à tout salir à tout avilir autant qu'ils le peuvent, que quand ils et elles auront enfin tout sali tout avili et même les Dieux, d’après eux et elles, alors le paradis serait enfin à leur portée !
Il m'a fallu des années et des dizaines d'années pour même appréhender.
J'espère donc être resté poli et dans l’attitude et dans les mots.
Personne-homme-mec-lui - de Pixabay (lien)
Sens comme la pluie d’un été anglais
Devenir comme un début de misère de poisse collée à jamais ou pas mieux un début de vampire, ou de devenir plus gris que gris, ou de mourir de froid dans la grande ville et ses millions d'autres ombres humaines, sans même m'être rendu compte de rien.
Cette peur viscérale, et déjà celle de la misère de la misère et tout ce qui va avec.
Et déjà en ce qui concerne mes affaires et l'ésotérique lié à l'argent dans mes propres affaires : j'ai fort à faire.
Mais Nietzsche a écrit quelque chose comme quoi le côté sacerdotal qui venait des juifs avait apporté quelque chose à l'humanité.
Nietzsche, c'était un gars avec des intuitions extraordinaires que personne n'avait jamais eu avant lui, et qu'après lui personne non plus n’a eu comme lui.
Et puis Nietzsche surtout, ce n'était pas un gars cynique.
Donc je me dis qu'il y a d'emblée peut-être quelque chose de vrai dans ce qu'il a dit là.
Mais pour l'instant je ne sais pas vraiment quoi en penser ou plus exactement quoi en ressentir au niveau des tripes et de l'intuition.
Nietzsche, c'était un gars qui se trompait rarement
De toute façon, je ne pourrai jamais vraiment comprendre ce que Nietzsche ressentait par ces mots.
Mais c'est mon niveau de savoir un peu ça, et il y a effectivement 9 chances sur 10 que je le sache un jour un peu.
Et que loin de l’esprit de pesanteur décrit ailleurs par Nietzsche, que je le sache un peu un jour avec ce sens du non-sens, « sens comme la pluie d’un été anglais ».
« Sens la pluie comme un été anglais
Entends les notes d'une chanson lointaine
Sortant de derrière un poster
Espérant que la vie ne fût aussi longue »
Fade to Grey – du groupe Visage (lien)
Odal GOLD