Devenir une perfection en terme de production
Les canards sauvages ne sont pas les enfants du bon dieu, ni ne finissent toujours laqués ou en magret.
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« En fait TOUS les temples que sont les églises, cathédrales, mosquées, synagogues, sont des centres d'énergies sataniques, dont le but est, en utilisant la propension niaise à l'idolâtrie, de l'animal-humain, de le détourner de son Regard intérieur, pouvant lui faire prendre conscience que : '' vous êtes des dieux '' ( Jean 10, 34 ). Sans ces temples ''ils'' ne pourraient plus manipuler l'humanité, la sodomiser, la "brainwasher", et la faire trimer à leur place. C.Q.F.D.
De même qu'il n'y a pas lieu de faire la distinction entre vie profane et vie religieuse, ou actes profanes et actes sacrés, car ce sont nos vies et nos actes tout entiers qui sont sacrés.
Une vieille légende hindoue raconte qu'il y eut un temps où tous les hommes étaient des dieux. Mais ils abusèrent tellement de leur divinité que Brahma, le maître des dieux, décida de leur ôter le pouvoir divin et de le cacher à un endroit où il leur serait impossible de le retrouver.
Le grand problème fut donc de lui trouver une cachette. Brahma dit : « Voici ce que nous ferons de la divinité de l'homme : nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c'est le seul endroit où il ne pensera jamais à chercher. » »
C''est bien possible.
Ce qu'ils appellent fièrement leur bible, révélé ironiquement par des nains maléfiques, ne serait qu'un livre de cuisine pour préparer l'humain. Déjà beaucoup de gens sont comme des grumeaux au fond d'un estomac, en plein dans la phase de digestion. (Ces nains maléfiques sont également prêts à s'occuper de moi, éventuellement, et ne font guère de différence entre les humains. Peut-être que les nains maléfiques, ils peuvent servir à quelque chose ?)
Mais ce que vous nous décrivez là n'est que la vie absolument, et moi les gens, je ne leur souhaite pas que du bonheur. Peut-être juste que, si l'on me demandait mon avis, je les assemblerais comme les portiques bienveillants d'un club de plage.
Tout ce qui vit, ce que nous mangeons et nous-même.
Quelqu'un a écrit : « Les prisons sont faites pour mettre en sécurité les souvenirs que l'on ne veut pas oublier ». Et moi j'ai un jardin secret qui est comme une prison bleue, et qui fait que je n'oublie pas. D'ailleurs en ce qui concerne tous les gens et toutes les nations du monde :
...je me demande surtout…ce qui est bien pour moi – et tout ce qui m'environne aussi – hiérarchiquement, racialement, du point de vue de la santé, de l'argent, de l'amour, du sexe, du vent qui décoiffe et l'adrénaline qui fait du bien – et où les apparences et où la réalité, ça, c'est une bonne question !
Je n'oublie pas ce que valent les gens. Ils n'arrêtent pas de vouloir se cacher derrière ce qu'ils appellent des diables, pour dire leur peu d'entrain à se mettre en avant. « Une race mentale, c'est quelque chose de plus solide, de plus durable, qu'une race tout court » (Adolf Hitler – Testament politique). Mais moi je sais que la race mentale des braves gens est souvent bien pire que tous les diables qu'ils agitent comme des épouvantails, pour se cacher même à eux-mêmes.
Les gens, ils n'arrêtent pas de vouloir se cacher aussi derrière l'argent, et je sais que je me répète : je ne leur souhaite pas que du bonheur. On peut leur proposer n'importe quelle émission participative, c'est sûr ils seront toujours prêts à toutes les aventures, comme ils disent. Et alors ils ne deviendront pas des bourreaux et des inquisiteurs que pour de l'argent : le prestige de l'uniforme peut suffire très largement (voir les expériences dans le genre de Stanley Milgram).
Pollution chimique. Pollution de l'ozone. Pollution électromagnétique. Dans le film de ARTE « Mâles » en péril », on peut constater qu'en 50 ans les hommes ont perdus la moitié de leurs spermatozoïdes. Les poissons se féminisent, les grenouilles sont atrophiées, etc., etc. Le film « Alerte à Babylone » parle de toutes ces pollutions (de l'industrie pétrochimique, de l'industrie pharmaceutique et de l'industrie des communications) qui déglinguent tout ce qui vit, ce que nous mangeons et nous-même.
Le film « Un avenir sans soleil » nous parle de l'obscurcissement du ciel par la seule pollution, et le thème est impressionnant, même si l'on en parle peu. Je pense que pour une fois le « politiquement correct » a parfaitement raison en ce qui concerne la peur de la pollution. La pollution extrême qui nous recouvre progressivement (avec ses cancers, ses allergies, ses mutations génétiques et sexuelles, etc., etc.) n'a rien d'une plaisanterie.
La rage d'amasser et le matérialisme vulgaire – bien « paysan » (au contraire des nomades maraudeurs) – est devenu le nec le plus ultra de la pensée contemporaine. Cette rage pourrait bien nous emporter tous. Mais derrière cette pollution, est-ce qu'il n'y a pas une volonté consciente et délibérée de nous faire céder, de nous modifier et de nous rendre « meilleurs » : plus productifs, incroyablement plus malléables, plus dociles (plus féminins), plus « civilisés » et complétement dépendants ?
En passe de devenir lui-même une perfection en terme de production
Dans la ferme, les habitants sont toujours en sécurité et ont de bonnes plaisanteries, et on rigole bien. Mais je crois que leurs blagues sur les blondes sont un brin plus « sérieuses » qu'elles ne se présentent officiellement, et beaucoup plus prosélytes. C'est les seules de permises dans le genre. C'est peut-être le résultat réel de la dernière guerre mondiale, quand une ethnie, celle des pas blonds, vainc et en conquiert une autre. A moins que cela ne vienne que du seul choix du propriétaire de la ferme.
De Gaulle disait volontiers que « les français c'est des veaux ». Il paraît qu'il était quelqu'un de très populaire dans l'étable nationale. Les veaux l'appréciaient beaucoup. Et même moi je suis une brave bête.
Il y a comme une guerre d'insectes sociaux, exterminatrice et filmée, et interminable, basée sur les clichés et l'instinct de donner ou d'empêcher tel type de caractère ou de descendance. Les Indiens font la ronde autour du poteau des tortures, aux côtés des vainqueurs nombreux et certes, dénués de toute sensiblerie. Et en plus, tu me dis que j'ai quelque chose à voir là-dedans, et que j'ai certainement un rôle à tenir là-dedans.
L'inconscient collectif de la ferme, aux doigts travailleurs et crochus, veut encore plus de labeur et de domesticité. Dans la ferme, c'est maintenant l'apologie de la fourmi et du puceron : le réflexe de la basse cour / à ne pas voir plus loin que les murs de l'étable et de la basse-cour – en attendant d'être tondus dépecé y compris les bêtes de somme. Les animaux modifiés génétiquement de la ferme, à l'image de l'homme génétiquement modifié moderne – en passe de devenir lui-même une perfection en terme de production / c'est le même point de vue « paysan », partagé par l'inconscient collectif de la ferme tout entière.
Même leur science « moderne et cartésienne », dont ils font grand cas, ne veut que des choses qui peuvent être reproduites. Le scientifique, autant que le financier d'aujourd'hui, est comme le Elmer du dessin animée et son instinct viscéral de propriétaire – il a peur de l'inconnu, est dénué de toute pitié, coléreux, stupide, cupide.
Ils se cachent même derrière le sexe. Le fait qu'on parle et puis surtout qu'on pense autant au sexe, en particulier dans le monde dit du travail, est une anomalie présente dans toutes les étables : en captivité, les tigres ne se reproduisent pas – mais les lapins, les chèvres, les porcs, etc., tous animaux comestibles…il faut bien reproduire la chair à festoyer, la chair à football, la chair à canons, la chair à travail des animaux de l'étable – et souvent pour eux la normalité s'arrête pratiquement là.
D'ailleurs les français se vendent bien dans le monde. Ce sont les meilleurs loufiats, valets et larbins du monde. Et ils s'en vantent.
Oui monsieur.
Odal GOLD www.odalgold.com
PS :
Il n'y avait vraiment pas de quoi se vanter de travailler : quand on travaille, c'est qu'on a juste pas la carrure pour jouer les voyous. D'après la langue française – avec son cachet argotique savoureux et surtout vivant – tout le monde ne peut pas être ce qu'on appelle « un beau mec ».
Il est vrai que les « beaux mecs » sont aussi aujourd'hui des professionnels, du genre à être un peu en toc et à être appointés pour faire plaisir aux autres braves gens.