Sujet de dissertation : le niveau « technologie + conscience » / 3

 

Sujet de dissertation : le niveau « technologie + conscience » / 3

 

 

Parce qu’ici il faut le savoir, les gens n’aiment pas jouer, en rien. C’est même assez étonnant à ce point-là, on va dire.

Et tu peux t’attirer des haines même pas pour un simple coup d’œil en trop, ou parce que tu as la dernière voiture à la mode, mais juste parce que tu possèdes un centime un kopeck un cents de dollar en plus d’eux, et d’elles : des gens d’ici qui sont d’ici.

Et il y a la haine des imbéciles bien sûr, et puis une tendance à ricaner de ricaner et à vouloir te faire ricaner et qu’à la finale même toi tu vas ricaner de ricaner : du genre quand je regardais les clowns à la télévision, quand j’étais gamin ça me faisait carrément peur.

C’est assez hallucinant, et même en ne faisant rien, leur haine des imbéciles, que ce n’est pas assez de n’avoir plus de goût pour les jeux la ballade ou à lire un livre, la musique, les flingues, ou juste le plaisir de s’assoir sur un banc à profiter du soleil au zénith dans le ciel et qui éclabousse tout de sa lumière.

Et puis voilà. 

 

 

Et en avant les histoires !

 

En avant les histoires - de Pixabay (lien)

 

 

Dans les westerns américains, et c’est ma vision ordinaire des choses, il faut évidemment se méfier des autres cowboys, et là je ne dis rien tellement c’est une évidence.

Et puis il faut se méfier aussi de la seule fille qui se retrouve toujours avec les 50 gars, là où « ils et elle » sont toujours, une espèce de désert immense et vieux tellement vieux beaucoup trop vieux ce désert aride sec glacé. Et là je n’ai rien dit non plus tellement c’est une évidence.

Après, il y a des pays qui n’existent pas, et qui n’auraient rien à voir avec les westerns américains.

C’est le genre de pays de conte de Fées qu’on ne trouvé que dans certaines légendes. Je n’ai rien dit là non plus tellement je ne sais pas s’il faut croire à de telles légendes et à de tels pays.

Y croire ou ne pas y croire, et certes qu’importe tous les croyants, c’est vous qui voyez et puis c’est votre vie et même que c’est chacun sa vie moi aussi.

 

 

Enfin bon.

Après, il y a des pays, où par exemple sous le règne des anciens rois de France, il y eu : des millions de gars, pendant 1200 ans, et une seule fille.

« Inséparables compagnons d'armes, Jeanne d'Arc et Gilles de Rais formaient le plus étrange duo du XVe siècle. Ces deux-là sont bien liés d'une manière extraordinaire. Le roi va accorder un privilège extrêmement rare, il donne à Jeanne et Gilles le droit de faire figurer sur leurs blasons respectifs les armoiries royales.  Yolande d’Aragon écrit à cet effet :  c’est un honneur extrêmement rare, des plus honorifiques, attribué a quelqu’un qui n’est pas roi. » (lien).

 

Le blason de Jeanne d'Arc est une épée transperçant une couronne (une épée férue en pal dans une couronne). Le blason de la famille de Jeanne d'Arc, c'est un lion comme ciblé par 3 flèches 

 

N’oublions surtout pas que Gilles de RAI fut l'un des plus grands « monsters » de l'histoire de France et qu'on retrouva dans ses jardins plusieurs centaines de squelettes d'enfants ayant été torturés.

 

En plus que leur devise à ces gens là est : « Dieu « servi » premier » : mais chez des gens comme ça, et en particulier pour un Gilles de RAI avec ses centaines de squelettes d'enfants retrouvés dans ses jardins : pour des gens comme çà, une telle devise, ça veut dire quoi ?

Pas comme dans les westerns américains. 

 

 

indians-western-et des plumes

 

 

Et puis des indiens et puis des cow-boys et puis moi aussi - de Pixabay (lien)

 

 

 

Pas comme dans les westerns américains.

Peut-être aussi des vengeances de vengeances, et même de gars comme moi, ou d'autres êtres vivants, et que je m’en lave d’avance les mains aussi, impossible de savoir.  

 

C’est le bon à-priori. 

A-priori avec les filles pourtant il me semble que cela passe « c’est OK c’est Bath », et certes, même si je ne suis pas un Mozart, même là.

Mais je ne désespère pas un jour de réussir quelque chose dans ma vie, et sur le sujet des filles, et moi non plus.

Une démonstration serait peut-être à faire un jour pour être sûr.

 

Pour dire que j'essaye d'être objectif, avant de tirer juste une balle un projectile un flash de calligraphie façon « Street-art » (lien), un trait comme un tableaux à 100 millions de dollars qui ne voudrait rien dire du tout, comme il faut, et tracer la, ou plutôt : ma direction comme il faut.

 

Et pour reprendre la devise des anciens hussards, celle des anciens hussards (et certainement pas celle de ces gens-là des anciens rois de France), ils disaient :« En faisant ce qu'il faut - ne craignez personne » (lien).

 

Quel drôle d’idée, ce genre d’assemblage de mots (lien), tellement c’est bien tiré, et pas qu’au mousquet.

 

Donc, et toujours dans ce genre de pays qui ne serait pas qui n'existerait pas vraiment, certaines bannières ne sont pas non plus comme dans les westerns américains. ;

Dans les westerns américains, à la finale il y a toujours la cavalerie qui arrive à temps.

Ici, le sujet de dissertation, ce serait plutôt, qu’est-ce qu’être un homme libre, ou une femme libre. Et déjà par ici, parfois je me demande ce que çà veut dire exactement, être un homme ou une femme.

 

Et je te jure même pour répondre à ce sujet de dissertation : pour le reste il faut faire « attention de attention », mais je n’ai rien dit là non plus tellement c’est une évidence.

Vraiment.

Dans ce genre de pays.

A l'extrême droite la bannière de Jeanne d'Arc, et la brutalité et la violence affichée. Et en cas de réincarnation comme on dit à juste titre, ou pas à juste titre : un feeling certain de Gille de RAI pour la « vicelardise » de la « vicelardise » de l'extrême gauche.

Mais les uns comme les autres, enfin bon, chacun sa vie, comme on dit, à juste titre, ou pas.

 

De quel côté de ce genre d’Histoire la frontière vous rassure, c’est chacun qui voit ou qui ne voit pas.

De savoir si dans leur Histoire avec un grand H, et qu’il y aurait une anomalie, ou pas : c’est chacun qui fait ce qu’il lui plait, et qui répond, qui dit ce qu'il veut. 

C'est chacun qui a le Droit avec lui et même l'épée de la Justice avec un grand J, avec lui, avec lui et avec elle, pour faire, répondre et dire ce qu'il lui plait.

C'est comme ça qu'ils disent les citoyens libres, majeurs et vaccinés de par ici.

 

Jeanne d'arc a été la seule femme pour des millions de gars, mais en fait ce fut la seule femme perdue parmi des millions de gars et pendant plus de 1000 ans : et juste seulement pour ce Gilles de RAI, l’un des plus grands « monsters » de l’Histoire des français.

 

Et puis.

De quel côté la frontière vous rassure, entre un Gilles de RAI (l’un des plus grands « monsters » de l’Histoire des français), et puis déjà, pour commencer : les « salauds de pauvres » – dixit Jean Gabin (lien) ?

Et puis.

Et même que, ailleurs « c’est pas » forcément mieux.

 

Et il m’est arrivé de traverser Paris de Montparnasse à Saint-Michel, et de n’avoir strictement aucun écho, à part le bruit de mes pas sur le macadam.

C'est la vérité de la vérité.

Chacun sa réponse ou pas sa réponse, et là aussi je n’attends pas d’écho.

 

 

Bien pire que dans les westerns américains.

 

Peut-être que ça fait partie des mystères de l’ouest, et c’est vrai que je préfère les westerns et même de ceux qui se passent dans les déserts écrabouillés par le soleil au zénith, et aussi dans ces si vieux tellement vieux trop vieux déserts que sont les si grandes villes, et même comme dans les légendes, et qu'on peut s'y retrouver complétement seul, seul et complètement glacé et transi de froid.

Moi je préfère passer mon chemin, je suis juste un touriste, comme tout le monde. 

 

 

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La flèche Arc Tir à l'Arc - de Pixabay (lien)

 

 

 

Rapport technologique au XVème siècle de cette Jeanne d’ARC et de ce Gilles de RAI l’un des plus grands « monsters » : un arc et ses flèches me conviennent parfaitement.

Jaime bien aussi l’épée, et aussi éventuellement une lance. Par contre je tiens à ma superstition perso. Et par exemple, je le sais bien aussi, que l’art de la guerre, c’est aussi savoir protéger son empathie et même quelque chose comme la maitrise de soi-même, à l’anglaise ou à la russe, ou façon yoga.

 

Et je crois savoir qu’on peut même y gagner le lait et le savoir, mais je sais, et cela j’en suis sûr, qu’il n’y a que quelques âmes russes pour pouvoir ainsi parler de la guerre et de la paix.

Et je ne suis ni un Mozart ni un Tolstoï.

Mais peut-être que quand-même, un jour : je réussirai quelque chose dans ma vie.

 

On y croit, on croit, et j’y crois aussi.

« Faut pas » tout confondre. Mais peut-être je peux devenir un bon musicien, et peut-être même aussi un bon chef d’orchestre.

Mais que serait la vie, si l'on prenait tout du point de vue professionnel et bizness, s'il n'y avait pas aussi le feeling, l'instinct de survie et le plaisir de jouer juste pour soi-même parce qu'on aime la musique, la mer et la forêt, et aussi le reste, vraiment.

 

C'est chacun qui voit, ou qui ne voit pas, pour le choix des armes, comme on dit, et puis pour l'instrument de musique, et puis l’état d’esprit et le niveau de « technologie + conscience » qui correspond le mieux.

Et puis la superstition qu’on a, ou qu’on n’a pas, et même ma superstition complètement perso.

 

 

 

 

 

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                                                                          www.odalgold.com

 

 

 

 

 

 



10/01/2025
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