Paradoxe chez les abeilles, les verts et les mutants
Les verts ne font que parasiter
C'est intéressant de voir comment nos « élus verts » s'entendent pour afficher leur auto-promotion et seulement culpabiliser le pauvre – avec leur taxe carbone par exemple.
Jamais ces verts, maintenant élus au parlement européen, n'ont évoqué de poursuivre en justice BP pour ce qui s'est passé dans le golfe du Mexique, ils n'ont jamais attaqué les lobbies pétroliers en justice pour leur obstruction à toute recherche réelle et à une alternative au pétrole.
Ils n'ont jamais poursuivi Monsanto en justice pour ses pesticides qui font (entre autres, entres autres) que les hommes ont perdu la moitié de leurs spermatozoïdes en 50 ans, que les grenouilles et les poissons se féminisent et que les sols et ce que nous mangeons sont devenus "bizarres"... et que les abeilles disparaissent.
Ces élus « verts » ont les moyens financiers et techniques. Le problème écologique est un vrai problème. Il y a chez eux la structure politique pour s'attaquer de front aux (vrais) problèmes écologiques.
Mais quand je vois un Cohn-Bendit ou un Yann-Arthus - je me dis que ces structures politiques ne serviront jamais à rien, jamais à résoudre quelque problème réel - et les problèmes sont bien réels sur le sujet.
Ces gens là sont des spécialistes pour se gonfler de leur propre importance (pour faire parler d'eux) et culpabiliser le pauvre à la manière des mafieux religieux. Comme le parrain, l'évêque a presque toujours une grosse « bagouze » au doigt, chez les Verts manifestement on a en a déjà retenu l'aspect moralisateur.
Dans leur cas, oui, malheureusement pour notre futur, « leur amour de la nature cache mal leur haine de l'homme ».
Les verts ne font que parasiter un problème général bien réel, non pas que leur structure politique soit mauvaise, bien au contraire : c'est plutôt de leur qualité humaine qu'on ne peut absolument rien attendre - j'en suis certain.
Paradoxe chez les abeilles
Actuellement, les abeilles vivent plus longtemps et produisent plus de miel à Paris que dans les campagnes. C'est un vrai paradoxe.
Les ouvriers agricoles sont les plus touchés en cancers, féminisation des hommes, stérilité et autres avatars de l'industrialisation de l'agriculture. Cela est dû aux pesticides, aux engrais chimiques Monsanto et autres pollutions industrielles qui ont fait des campagnes des zones finalement moins vivables que les grandes villes.
Je ne mange plus la peau des pommes même dites biologiques. Le vin est devenu particulièrement cancérigène, etc.
Les nouveaux humains OGM
Quand on a de l'argent, on peut mieux manger, dormir, se soigner, s'éduquer, et on a plus le temps de prendre soin de soi-même, de son temps, de son corps, de son esprit, intellectuellement, psychiquement, voire spirituellement et physiologiquement.
Et pourtant quand je vois les Serge Dassault, les Cohn-Bendit, les Nicholas Sarkozy, les Yahnn Arthus-Bertrand, les Strauss-Kahn, les Frédéric Lefèvre, les Frédéric Mitterrand, et la tête de la reine des abeilles d'Angleterre – je me demande, quand je regarde un peu ces gens qui nous dominent par le seul argent : si à l'exemple des abeilles qui sont moins polluées dans les villes que dans les campagnes, les occidentaux pauvres ne seraient pas moins « pollués » – moins OGM moins mutants – que les occidentaux riches.
Ce serait pourtant, comme je viens d'y réfléchir, un sacré paradoxe, ces mandibules que je vois particulièrement saillantes chez les bénéficiaires et les zélateurs de l'argent-roi.
Je précise que je ne surestime pas du tout le prolétaire de base. (Les « mecs », souvent, n'ont dans la tête qu'un peu de football et cela leur suffit largement. Leurs équivalents femelles, on pourrait dire qu'elles ne s'intéressent même pas au football, ce qui n'est pas peu dire.)
Et j'ajoute qu'en ce qui concerne les quelques relations de ma vie privée, que j'ai pu observer sur le sujet, j'en arrive à la même première interrogation pas du tout naïve ni démagogique ni « anthroposociale » ni morale encore moins.
Les fantômes de la télé, parfois c'est juste ta compagne ou tes amis, en fait en les regardant de si près ce sont juste des spectres – ils sont morts depuis toujours – assassinés par la télévision ou le football ou le travail ou une autre de ces drogues dures de la nation ou de la finance : les différents opiums de si basse qualité, religieux entre autres – c'est le choix des gens.
Et peut-être que tu ne sais pas si bien dire. Et parfois je me demande, à défaut d'être un philosophe ou un extraterrestre – si je ne suis pas mort ou taré quelque part – moi non plus.
Nous avons affaire à une pollution tout azimuts, chimique, endocrine, biogénétique, comme il n'y en a pas eu de mémoire d'homme actuel, et les plus malades et les plus pollués me semblent nos dominants actuels (c'est un paradoxe).
En Occident et particulièrement au Japon, on constate une mutation des jeunes générations au niveau de la mâchoire, des dents, du squelette. Les mandibules mutantes, en gestation depuis plusieurs millénaires, sont particulièrement apparentes depuis quelques décennies : ne doutons pas qu'avec la science génétique (découverte de longue date par les insectes sociaux), la révolution des Organismes Génétiquement Modifiés aille jusqu'au bout de sa logique.
Il y a en apparence plus d'empathie humaine dans les milieux prolétaires, probablement parce que les mandibules (fébriles et dénuées de toute paresse animale) y sont tout simplement moins saillantes et moins acérées.
Aujourd'hui, être un homme pas trop pollué, pas trop OGM pas trop artificiel pas trop dégénéré pas trop malade pas trop insecte pas trop que strasses « pas trop calibré par l'élevage en batterie des humains », pas trop stérilisé pas trop aseptisé pas trop « mal nourri aux hormones » pas trop moral pas trop mandibulaire, pas trop synthétique – être un homme libéré – c'est pas si facile, tu sais.
Odal GOLD
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PS :
En attendant que notre espèce mutante, sur le modèle d'autres insectes sociaux, se soit complètement adaptée et transformée ?