Ce que je veux savoir
Ainsi est le malheur d’en trop savoir, et même la connaissance de sa douleur, qui rejettent au loin l’espoir d’un grand destin facile, allant de soi.
Heureusement qu’il y a ce grand corps déglingué, qui digère même les idées. Et l’innocence retrouvée, grâce à la digestion de ce grand corps délabré, on peut à nouveau célébrer. Du cœur noir des flibustiers de la connaissance, on peut de nouveau hisser le pavillon.
Tout va bien, et dans l’innocence de ce nouveau soleil matinal, dans chaque homme rugit un tigre virtuel.