« Au nom de la loi » (lien)

Mais sinon je ne comprends pas ce que tu me dis

   Nouvelles lois. Tu me parles de ces nouvelles lois.

« À partir du 1er janvier 2024, le tri des biodéchets à la source sera obligatoire.31 déc. 2023, etc. »

   D'accord c'est un fait, c'est une constatation. Et sinon ?

   Et sinon, où veux-tu en venir en me parlant de ça, que même les gens ils seraient trop fainéants ou trop délinquants pour accepter et obtempérer à ce genre de lois ? 

   Et sinon en plus tu me dis c'est la Loi, c'est comme ça : tu me dis un fait, cette nouvelle, cette loi qui est sortie, d'accord, mais pour le reste je ne comprends rien à ce que tu me dis.

   Je me demande vite fait : est-ce que ce ne serait pas simplement l'intérêt de certains lobbies économiques : pour ce qu'on appelle l’or vert ? Et pourquoi veux-tu que je sois cynique avec l’argent ? 

   C'est vrai que je ne suis pas comptable et encore moins procédurier.

   Mais j'aime l'argent quand il a encore un goût. 

au nom de la loi steve mcqueen (lien)

Mais j'aime l'argent quand il a encore un goût

   Et puis je te regarde et là je me demande plutôt et je constaterais même plutôt que : très souvent, les gens ils ont juste envie d'empoisonner la vie des autres et ce n'est pas toujours du tout qu'une question économique ou d'argent. En tout cas, en te regardant c'est ce qui me vient à l'esprit.

   Et pour le reste, sinon, je ne comprends rien à ce que tu me dis.

   Mais y a-t-il même quelque chose d'autre à y comprendre ?  

   Il y a parfois un questionnement et un choix à faire et parfois : juste on tire à pile ou à face (lien).  

   Mais là : je ne comprends pas ce que tu me dis.

   « Nul autre que toi ne peut définir de quel côté de la Porte tu veux être, ni de quel côté il vaut mieux être.

     Nul autre que toi ne peut définir ce que peut être la réalité (santé, amour, adrénaline, sexe, argent - la vision de toi-même avançant à travers le temps). 

     Et tu as joué, tu as perdu ? » (lien)

Côté pile

L'Âme des bons à rien des Vandales (mais est-ce toujours vraiment le bon choix (lien) ?)

   Ils grognent et ils se plaignent les français, et c’est leur tradition.

   Ici des uniformes militaires, des structures de langage et même de philosophie qui me correspondent : à eux  je parle parfois, mais sinon je ne suis presque toujours que mon propre écho.

   Dans la Légion Étrangère Française par exemple, il n'y a plus d'ancien détenu depuis 70 ans : cela veut dire que les « céfrancs » d'aujourd'hui ne comprennent plus rien du monde humain depuis bien longtemps, et encore moins en ce qui concerne l'esprit français qui correspond à ces uniformes. Que quand les légionnaires eux-mêmes s’associent en apparence avec les films de (et l'acteur) Belmondo (lien), en fait eux et le reste de l'armée française ne peuvent tout simplement voir dans Belmondo et ses films que des « bouffonneries pas du tout professionnelles ».

   Certains voient peut-être dans les tribulations cinématographiques de l'acteur, va savoir, même pas un bouffon et un hurluberlu, mais dans le meilleur cas : un Chörten (lien) un ange, un chien tout là-haut dans le ciel pour veiller sur eux, un Saint-Belmondo à sacrifier. C'est même comme ça que ça marcherait, depuis toujours, dans la réalité des professionnels utiles pour la la société.

   Dans tous cas, la plupart des « céfrancs » d'aujourd'hui sont incapables d'avoir jamais pu créer une telle langue ni même l'organisation ou les uniformes.

   C'est comme dans le « conte du petit chaperon rouge » (lien), et je suis dans ce conte : comme le petit chaperon rouge avec son petit pot de beurre et mon envie d'apprendre. Comme dans le fameux conte (lien), la grand-mère s'est fait manger par le loup (mais qu'elle est dans ce cas la symbolique du loup ?). 

   L'hypothèse est que le loup a gardé les habits de la grand-mère autant que les uniformes des légionnaires français et de l'armée française : mais dans ces habits il n'y a plus la grand-mère, mais un loup avec ses grandes dents qui me regarde avec ses grands yeux.

   Quelque chose qui s'est passé comme ça un jour, aujourd'hui demain ou hier : les « céfrancs » d'aujourd'hui n'ont vraiment rien ou plus rien à voir avec ceux d'hier.

   C’est curieux.

   Quelques personnes avec qui parfois je peux échanger deux ou trois phrases, un peu comme dans le film « Vol au-dessus d'un Nid de Coucous », et mon balai, et mon balai (lien). 

   Je suis ou je me prends juste un peu comme un paysan un peu guerrier, quelque chose comme ça. Je ne suis pas simple, simple, mais je suis « un gars relativement, relativement simple » : c'est ce que je pense de moi-même.

   Mais n'est-ce vraiment que cela le sujet, l'Âme des bons à rien des Vandales et même parfois d’un Vidocq (lien) (aventurier, successivement délinquant, bagnard, indicateur puis policier et enfin détective privé) : ceux qui autrefois étaient aussi l’âme de la Légion Étrangère Française ?

   Mais n'est-ce vraiment que cela le sujet, que l'Âme des bons à rien des Vandales et même parfois d’un Vidocq, ça n'existe pas ou que cela ne doit plus exister ?

   🤔🤔🤔🤔🤔

   Et vu qu'à priori, il y a un double-tranchant en tout.

Côté face

Et parfois, elle manie également le marteau (mais là aussi :  est-ce toujours vraiment le bon choix (lien) ?)

   Je disais qu'il y a quand-même quelques personnes avec qui, parfois, je peux échanger deux ou trois phrases, un peu comme dans le film « Vol au-dessus d'un Nid de Coucous », et mon balai, et mon balai (lien).

   Parfois ici je rêve d’une personne à la fois inhabituelle et sympathique, qui me parlerait d’autre chose que de légumes et qu’il faut aider et aider toujours les autres. Ici il y a beaucoup d’idées fixes et de dégoulinements de bonnes intentions juste c’est comme ça. Et même que parfois c’est un peu inquiétant.

   Parfois ici je rêve même d’un genre de personne gentille.

   C’est dire à quel point parfois je rêve trop fort, et pas que de « la mère sup qui avait mis un kilt » (lien).

   Aux dernières actualités de 2016, il y avait une suite de la série « Ma sorcière bien aimée » (lien) en préparation. Depuis je ne sais pas la suite, j’ai perdu le fil.

 

 

   

Parfois la dénommée Samantha manie le balai, et parfois elle manie le marteau (lien).

 

Et parfois elle manie le marteau (lien).  

Et la légende dit :« Quiconque possédera ce marteau, s'il s'en trouve digne recevra le pouvoir de Thor » (lien)

   Mais toujours c'est une chouette fille et une gentille.

   Parfois, je me dis que j’aimerais bien la connaitre cette Samantha dans la série (lien), mais son Jean-Pierre est lui-même d’un genre plutôt jaloux et très conformiste.

   Je ne juge pas, chacun sa vie, mais c’est pas de mon niveau tant et tant d’embrouilles potentielles.

   Peut-être une autre fois.

   Peut-être une autre fois aussi, pour faire le bon choix (lien), ou pour tirer à pile ou à face (lien).